Tu jetais quelques pierres
Tu regardais un peu fier,
Au dessus du lot,
Les autres se déférent,
Tu pensais rebondir
Ne jamais prendre l'eau
Au pire atteindre
L'autre rive, en ricochet...
T'empruntais des chemins
Que les autres balisaient
Éclairaient, sûrs, de ne pas tremper.
Mais t'as senti comme un coup
De bois vert dans le dos
Tes genoux ont pliés
Quand ils sont venus
Impatient, à te dire :
« Oh tu sais, il est pire »
Que le dernier des derniers salops
Tu savais tout déjà
Mais tu n'aurais pas voulu
Que l'on vienne frapper
À ta porte...
Dans ton dos, tu savais
Comment certains se réjouissaient
De pouvoir un jour cogner
Depuis tu jettes quelques pierres
Tu regardes un peu fier
De la colère plein les yeux
De la colère plein les yeux
Qui ne coulera jamais
Sur ta peau, c'est écrit :
« J'ai souffert, j'ai sourit »
De la colère plein les yeux
Qui ne coulera jamais
Sur ta peau, c'est écrit :
« J'ai souffert, j'ai sourit »
Tu regardais un peu fier,
Au dessus du lot,
Les autres se déférent,
Tu pensais rebondir
Ne jamais prendre l'eau
Au pire atteindre
L'autre rive, en ricochet...
T'empruntais des chemins
Que les autres balisaient
Éclairaient, sûrs, de ne pas tremper.
Mais t'as senti comme un coup
De bois vert dans le dos
Tes genoux ont pliés
Quand ils sont venus
Impatient, à te dire :
« Oh tu sais, il est pire »
Que le dernier des derniers salops
Tu savais tout déjà
Mais tu n'aurais pas voulu
Que l'on vienne frapper
À ta porte...
Dans ton dos, tu savais
Comment certains se réjouissaient
De pouvoir un jour cogner
Depuis tu jettes quelques pierres
Tu regardes un peu fier
De la colère plein les yeux
De la colère plein les yeux
Qui ne coulera jamais
Sur ta peau, c'est écrit :
« J'ai souffert, j'ai sourit »
De la colère plein les yeux
Qui ne coulera jamais
Sur ta peau, c'est écrit :
« J'ai souffert, j'ai sourit »