La première cigarette, la première bouffée d'air
La première descente, le premier baiser
Le premier arrivé à la maison, la première course dingue
La première déception, le premier amour
Avant l'affluence, le premier train,
La dernière séance, la première pucelle
Le premier sur la paille, la dernière échéance
Avant de f***re le camp.
Je revêrais de ne devoir compter,
Que les jours où tu ne m'as pas manqué.
Et je rêverais de ne devoir compter
Mais tu m'as manqué,
Et tu m'as manqué.
Le premier sur le flanc, le jour de nos trente ans,
Les premiers hématomes, qui aujourd'hui nous font marrer,
La première veste retournée, il y a longtemps longtemps déjà.
Le premier mensonge et surement pas le dernier,
Les erreurs imprimées que l'on ne cesse de répéter,
Le premier but marqué, les bras levés, au stade final, devant la télé.
J'aurais aimé ne devoir compter
Que les jours où tu ne m'as pas manqué,
j'aurais aimé ne devoir compter
Que les jours où tu ne m'as pas manqué.
Mais tu m'as manqué.
Et tu m'as manqué.
Le premier enfant que l'on imaginait pas,
Avoir un jour, il y a deux ans de ça,
Le premier verre jeté à la figure
Pour un aveu, pour la blessure
Le verre d'après et les injures.
La vie d'avant dont on se souvient plus,
Le dernier amour qui a disparu.
La dernière séance, le premier train
Avant l'affluence, avant l'affluence.
Je rêverais de ne devoir compter
Que les jours où tu ne m'as pas manqué
Je rêverais de ne devoir compter
Que les jours où tu ne m'as pas manqué
Mais tu m'as manqué.
Et tu m'as manqué.
La première descente, le premier baiser
Le premier arrivé à la maison, la première course dingue
La première déception, le premier amour
Avant l'affluence, le premier train,
La dernière séance, la première pucelle
Le premier sur la paille, la dernière échéance
Avant de f***re le camp.
Je revêrais de ne devoir compter,
Que les jours où tu ne m'as pas manqué.
Et je rêverais de ne devoir compter
Mais tu m'as manqué,
Et tu m'as manqué.
Le premier sur le flanc, le jour de nos trente ans,
Les premiers hématomes, qui aujourd'hui nous font marrer,
La première veste retournée, il y a longtemps longtemps déjà.
Le premier mensonge et surement pas le dernier,
Les erreurs imprimées que l'on ne cesse de répéter,
Le premier but marqué, les bras levés, au stade final, devant la télé.
J'aurais aimé ne devoir compter
Que les jours où tu ne m'as pas manqué,
j'aurais aimé ne devoir compter
Que les jours où tu ne m'as pas manqué.
Mais tu m'as manqué.
Et tu m'as manqué.
Le premier enfant que l'on imaginait pas,
Avoir un jour, il y a deux ans de ça,
Le premier verre jeté à la figure
Pour un aveu, pour la blessure
Le verre d'après et les injures.
La vie d'avant dont on se souvient plus,
Le dernier amour qui a disparu.
La dernière séance, le premier train
Avant l'affluence, avant l'affluence.
Je rêverais de ne devoir compter
Que les jours où tu ne m'as pas manqué
Je rêverais de ne devoir compter
Que les jours où tu ne m'as pas manqué
Mais tu m'as manqué.
Et tu m'as manqué.