Claude Léveillée
Les vieux pianos
Y a pas tellement longtemps
Vous vous rappelez au temps du guignol, de la dentelle ?
On se saoulait le dedans de pathétique
C'était la belle époque du piano nostalgique
Adieu rengaines qui nous suivaient la semaine
Et savaient nous réjouir quand nous vivions le pire
Mais déjà depuis longtemps, on vous a oubliées
Vous n'êtes plus de notre temps, restez dans vos musées
Ce sont vos pianos mécaniques
Que vous avez remplacés par des boîtes à musique
Qui pour quelques sous vous tirent deux disques coup sur coup
Pourvu que ça joue, nous on s'en f***
Ce sont vos pianos tout usés qui se sont tus paralysés
Et qui ne sont plus qu'objets d'antiquités
Qui autrefois faisaient la joie des salons
Et ils étaient les grands rois de la chanson
Mais malgré tout, on se souvient de vous
Et c'est avec regret que l'on vous sait muets
Mais ce soir, moi je vous aime
Et je veux que l'on vous chante
Vous que la vie retranche
De même vos frères les poèmes
Ce sont vos pianos mécaniques
Que vous avez remplacés par des boîtes à musique
Qui pour quelques sous vous tirent deux disques coup sur coup
Pourvu que ça joue, nous on s'en f***
Ce sont vos pianos tout usés
Qui se sont tus paralysés et qui ne sont plus qu'objets d'antiquités
Qui autrefois faisaient la joie des salons
Et ils étaient les grands rois de la chanson
Adieu rengaines qui nous suivaient la semaine
Et savaient nous réjouir quand nous vivions le pire
Mais déjà depuis longtemps, on vous a oubliés
Pourtant, y a pas tellement longtemps
Vous vous rappelez au temps du guignol, de la dentelle ?
On se saoulait le dedans de pathétique
C'était la belle époque du piano nostalgique
Les vieux pianos
Y a pas tellement longtemps
Vous vous rappelez au temps du guignol, de la dentelle ?
On se saoulait le dedans de pathétique
C'était la belle époque du piano nostalgique
Adieu rengaines qui nous suivaient la semaine
Et savaient nous réjouir quand nous vivions le pire
Mais déjà depuis longtemps, on vous a oubliées
Vous n'êtes plus de notre temps, restez dans vos musées
Ce sont vos pianos mécaniques
Que vous avez remplacés par des boîtes à musique
Qui pour quelques sous vous tirent deux disques coup sur coup
Pourvu que ça joue, nous on s'en f***
Ce sont vos pianos tout usés qui se sont tus paralysés
Et qui ne sont plus qu'objets d'antiquités
Qui autrefois faisaient la joie des salons
Et ils étaient les grands rois de la chanson
Mais malgré tout, on se souvient de vous
Et c'est avec regret que l'on vous sait muets
Mais ce soir, moi je vous aime
Et je veux que l'on vous chante
Vous que la vie retranche
De même vos frères les poèmes
Ce sont vos pianos mécaniques
Que vous avez remplacés par des boîtes à musique
Qui pour quelques sous vous tirent deux disques coup sur coup
Pourvu que ça joue, nous on s'en f***
Ce sont vos pianos tout usés
Qui se sont tus paralysés et qui ne sont plus qu'objets d'antiquités
Qui autrefois faisaient la joie des salons
Et ils étaient les grands rois de la chanson
Adieu rengaines qui nous suivaient la semaine
Et savaient nous réjouir quand nous vivions le pire
Mais déjà depuis longtemps, on vous a oubliés
Pourtant, y a pas tellement longtemps
Vous vous rappelez au temps du guignol, de la dentelle ?
On se saoulait le dedans de pathétique
C'était la belle époque du piano nostalgique