chasse gallerie
Claude Dubois
À force d'y rester
Dans la foret a s'ennuyer
Le diable est venu les tenter
Il fallait deux semaines
Quand la glace s'était ennaler
En canot pour s'en retourner
S'était déjà l'hiver
Les grand nous mordaient les pieds
Impossible de s'en aller
S'étais déjà Noël
Le nouvel l'an montrait son nez
Tout les hommes voulaient s'en aller
Le diable quiétant
Comme un rapas sur son gibier
Va leur offrir tout un marcher
Dans un canot, dans le plus grands que vous avez
Instaler vous là sans bouger
Quand minuit sonneras, ton canot d'un coup bougeras
Il s'élèveras pour t'emporter
Si l'un d'entre vous,
Àprès la fête terminer, manque le bateau vous périrez
Et chez le grand Satan,vous irz bruler, ignorer pour l'éternité
Le canot seleras
Jusqu'au ciel fut emporter
Jusqu'a leur village tant aimé
Chacun,remet
Une fois la fête terminer, sauf le dernier sans y penser
Pausant le pieds,en embarquant si retourner
Se retourner sans y penser
Alors le grand Satan, dans un tourbillon de brasiers,tous et chacun à emporter
Le plus jeune d'entre eux,le plus méfiant, le plus peureux,gardait comme un bijoux précieux
Une prière, à tué les diables de la terre
Et quant il eu enfin souter
Comme des étoiles, furent soudainement libérés
Devant leur cabane isolée
Claude Dubois
À force d'y rester
Dans la foret a s'ennuyer
Le diable est venu les tenter
Il fallait deux semaines
Quand la glace s'était ennaler
En canot pour s'en retourner
S'était déjà l'hiver
Les grand nous mordaient les pieds
Impossible de s'en aller
S'étais déjà Noël
Le nouvel l'an montrait son nez
Tout les hommes voulaient s'en aller
Le diable quiétant
Comme un rapas sur son gibier
Va leur offrir tout un marcher
Dans un canot, dans le plus grands que vous avez
Instaler vous là sans bouger
Quand minuit sonneras, ton canot d'un coup bougeras
Il s'élèveras pour t'emporter
Si l'un d'entre vous,
Àprès la fête terminer, manque le bateau vous périrez
Et chez le grand Satan,vous irz bruler, ignorer pour l'éternité
Le canot seleras
Jusqu'au ciel fut emporter
Jusqu'a leur village tant aimé
Chacun,remet
Une fois la fête terminer, sauf le dernier sans y penser
Pausant le pieds,en embarquant si retourner
Se retourner sans y penser
Alors le grand Satan, dans un tourbillon de brasiers,tous et chacun à emporter
Le plus jeune d'entre eux,le plus méfiant, le plus peureux,gardait comme un bijoux précieux
Une prière, à tué les diables de la terre
Et quant il eu enfin souter
Comme des étoiles, furent soudainement libérés
Devant leur cabane isolée