Si tu viens doucement te poser sur mon corps, te poser sur ma peau, te poser sur mon feu et me voir un peu, avec tes petits yeux, que c'est bien tout mon corps que ton p't** coeur émeut, que t'en a mal au corps, que t'en voudrais encore, avant que ça commence, que si je voulais bien, tu ne serais plus un saint pour m'en effleurer un.
Un petit tour d'amour dans un lit tout velours, mes cheveux détachés s'enroulent sur l'oreiller, tu dis que t'aimes bien, que tu voudrais aussi être un de mes cheveux pour t'enrouler, même si tu préfères être une main pour caresser l'satin mais non c'est du velours faut bien mentir un peu, ça fait partie du jeu.
Viens descends, glisse de mes épaules à mon ventre lentement. Prends le temps d'entendre s'entrouvrir mes jambes, chut...! Attends !
Si tu viens doucement mordiller mon désir avec ton p't** sourire à faire pleurer mes yeux je t'en voudrais un peu d'avoir trop attendu mais c'est bien étendue que je tendrais mon... Pardonne mon élan si c'est un peu violent même si j'aime quand c'est lent j'ai trop peur de rêver et de me réveiller sans ton corps à mes pieds, sans ton corps à mon corps, sans tes yeux à mon nez.
N'aie pas peur de te piquer fais déborder des mains, ta bouche de mes seins, de ma bouche ou d'ailleurs, j'ai pas de préférence juste envie de sentir nos deux corps frémir et monter le désir de se redécouvrir avec une émotion qui me donne des frissons jusque mon pantalon, tiens ! retire les boutons !
Viens descends, glisse de mes hanches à mes cuisses lentement. Prends le temps de me faire goûter aux délices.
Si je viens brusquement bousculer ton élan en prenant possession de la situation avant d'te faire l'amour je te ferais "lation" et c'est sans précaution que je quitterais ton caleçon, il faut bien l'avouer tu l'avais bien cherché, à force de me t**iller on finit par me trouver, on finit par devenir l'objet de mes désirs, la proie à mes délires, la cause de mes sourires.
J'en étais au caleçon , qui n'unit déjà plus, et c'est tous les deux nus que nous nous caressons, que nous nous emportons jusqu'à ne plus savoir à qui de nos deux ventres est la respiration. Où es-tu maintenant ? Tu t'es caché dedans et je ne contrôle plus un seul de mes mouvements, des frissons en courant font frémir nos organes, le temps d'un regard il est déjà trop tard.
Viens, glisse tendrement sur mon corps brûlant tout s'détend, prenons le temps d'entendre de nos coeurs les battements de nos ébattements.
Un petit tour d'amour dans un lit tout velours, mes cheveux détachés s'enroulent sur l'oreiller, tu dis que t'aimes bien, que tu voudrais aussi être un de mes cheveux pour t'enrouler, même si tu préfères être une main pour caresser l'satin mais non c'est du velours faut bien mentir un peu, ça fait partie du jeu.
Viens descends, glisse de mes épaules à mon ventre lentement. Prends le temps d'entendre s'entrouvrir mes jambes, chut...! Attends !
Si tu viens doucement mordiller mon désir avec ton p't** sourire à faire pleurer mes yeux je t'en voudrais un peu d'avoir trop attendu mais c'est bien étendue que je tendrais mon... Pardonne mon élan si c'est un peu violent même si j'aime quand c'est lent j'ai trop peur de rêver et de me réveiller sans ton corps à mes pieds, sans ton corps à mon corps, sans tes yeux à mon nez.
N'aie pas peur de te piquer fais déborder des mains, ta bouche de mes seins, de ma bouche ou d'ailleurs, j'ai pas de préférence juste envie de sentir nos deux corps frémir et monter le désir de se redécouvrir avec une émotion qui me donne des frissons jusque mon pantalon, tiens ! retire les boutons !
Viens descends, glisse de mes hanches à mes cuisses lentement. Prends le temps de me faire goûter aux délices.
Si je viens brusquement bousculer ton élan en prenant possession de la situation avant d'te faire l'amour je te ferais "lation" et c'est sans précaution que je quitterais ton caleçon, il faut bien l'avouer tu l'avais bien cherché, à force de me t**iller on finit par me trouver, on finit par devenir l'objet de mes désirs, la proie à mes délires, la cause de mes sourires.
J'en étais au caleçon , qui n'unit déjà plus, et c'est tous les deux nus que nous nous caressons, que nous nous emportons jusqu'à ne plus savoir à qui de nos deux ventres est la respiration. Où es-tu maintenant ? Tu t'es caché dedans et je ne contrôle plus un seul de mes mouvements, des frissons en courant font frémir nos organes, le temps d'un regard il est déjà trop tard.
Viens, glisse tendrement sur mon corps brûlant tout s'détend, prenons le temps d'entendre de nos coeurs les battements de nos ébattements.