Toutes ces mains qui naissent
Voudraient tout attraper
Ces petites mains qui se blessent
Sans l'avoir demandé
Et vos mains qui se tendent
Va savoir pourquoi
Pour qu'on ne les oublie pas
Pour qu'on ne les oublie pas
Ces mains qui s'allongent
Qui frôlent et qui hésitent
Et nos mains qui quémandent
Un peu d'humanité
Oh la main qui vous sert
Celle qui vous prend
Les mains adultères
Qui se cachent derrière
Oh les mains, les mains,
Mes mains qui se brulent
Mes mains qui espèrent
Mais nos mains qui étranglent
Qui voudraient caresser
Parfois nos mains sont dégueulasses
Et toutes celles qui cassent
Les poings fermés qui cognent
Ces mains qui se traînent
Et toutes celles qui comptent
Les mains qui ne peuvent plus
Et celles qui renoncent
Oh, ta main qui m'appelle
Celle qui m'emporte
Les mains qui s'affolent
Et toutes ces mains trop molles
Oh les mains, les mains,
Mes mains qui se brûlent
Mes mains qui espèrent
Mais nos mains qui étranglent
Qui voudraient caresser
Parfois nos mains sont dégueulasses
Et toutes celles qui cassent
Les poings fermés qui cognent
Toutes ces mains qui parlent
Et celles qui sont blessées
Toutes ces mains qui prient
Et celles qui se révoltent
Mais la main que tu donnes
Mais la main qu tu donnes
Oui la main que tu donnes
Toutes ces mains qui s'ouvrent
Et les mains qui vous lachent
Les mains dures de haine
Celles aux ongles rongés
Celles qui transpirent de peur
Oh, ces mains qui s'aiment
Celles qui s'entremêlent
Et toutes ces mains qui meurent
Oh les mains, les mains
Mes mains qui se brulent
Mes mains qui espèrent
Mais nos mains qui étranglent
Qui voudraient caresser
Parfois nos mains sont dégueulasses
Et toutes celles qui cassent
Les poings fermés qui cognent
Les poings fermées qui cognent
Mais la main que tu donnes
Oui la main que tu donnes
Voudraient tout attraper
Ces petites mains qui se blessent
Sans l'avoir demandé
Et vos mains qui se tendent
Va savoir pourquoi
Pour qu'on ne les oublie pas
Pour qu'on ne les oublie pas
Ces mains qui s'allongent
Qui frôlent et qui hésitent
Et nos mains qui quémandent
Un peu d'humanité
Oh la main qui vous sert
Celle qui vous prend
Les mains adultères
Qui se cachent derrière
Oh les mains, les mains,
Mes mains qui se brulent
Mes mains qui espèrent
Mais nos mains qui étranglent
Qui voudraient caresser
Parfois nos mains sont dégueulasses
Et toutes celles qui cassent
Les poings fermés qui cognent
Ces mains qui se traînent
Et toutes celles qui comptent
Les mains qui ne peuvent plus
Et celles qui renoncent
Oh, ta main qui m'appelle
Celle qui m'emporte
Les mains qui s'affolent
Et toutes ces mains trop molles
Oh les mains, les mains,
Mes mains qui se brûlent
Mes mains qui espèrent
Mais nos mains qui étranglent
Qui voudraient caresser
Parfois nos mains sont dégueulasses
Et toutes celles qui cassent
Les poings fermés qui cognent
Toutes ces mains qui parlent
Et celles qui sont blessées
Toutes ces mains qui prient
Et celles qui se révoltent
Mais la main que tu donnes
Mais la main qu tu donnes
Oui la main que tu donnes
Toutes ces mains qui s'ouvrent
Et les mains qui vous lachent
Les mains dures de haine
Celles aux ongles rongés
Celles qui transpirent de peur
Oh, ces mains qui s'aiment
Celles qui s'entremêlent
Et toutes ces mains qui meurent
Oh les mains, les mains
Mes mains qui se brulent
Mes mains qui espèrent
Mais nos mains qui étranglent
Qui voudraient caresser
Parfois nos mains sont dégueulasses
Et toutes celles qui cassent
Les poings fermés qui cognent
Les poings fermées qui cognent
Mais la main que tu donnes
Oui la main que tu donnes