Wayne crie les outardes qui montent vers le nord,
Et toi qui les regarde en enviant leur sort,
Du fond de les montagnes, des lacs des p't*** brulé,
Y crieront ta misère aux forêts qu't'as bûchées.
T'as arrivé par icite ça fait pas mal longtemps,
C'était comme toutes les autres pour gagner ben d'l'argent,
T'as rencontré des guidounes pis t'as toute dépensé,
Pis la un beau matin, tu t'es levé marié.
Wayne crie les outardes qui montent vers le nord,
Et toi qui les regarde en enviant leur sort,
Du fond de les montagnes, des lacs des p't*** brulé,
Y crieront ta misère aux forêts qu't'as bûchées.
Respire la poussière des grandes cheminées,
Si t'as quitté la terre c'était pour être mieux payé,
Pis asteur t'as un gros char pis une grosse télévision,
Pis quand ce tu montes là-haut c'est d'la broue pis des grands mots.
Wayne crie les outardes qui montent vers le nord,
Et toi qui les regarde en enviant leur sort,
Du fond de les montagnes, des lacs des p't*** brulé,
Y crieront ta misère aux forêts qu't'as bûchées.
Y crieront ta misère aux forêts qu't'as bûchées.
Et toi qui les regarde en enviant leur sort,
Du fond de les montagnes, des lacs des p't*** brulé,
Y crieront ta misère aux forêts qu't'as bûchées.
T'as arrivé par icite ça fait pas mal longtemps,
C'était comme toutes les autres pour gagner ben d'l'argent,
T'as rencontré des guidounes pis t'as toute dépensé,
Pis la un beau matin, tu t'es levé marié.
Wayne crie les outardes qui montent vers le nord,
Et toi qui les regarde en enviant leur sort,
Du fond de les montagnes, des lacs des p't*** brulé,
Y crieront ta misère aux forêts qu't'as bûchées.
Respire la poussière des grandes cheminées,
Si t'as quitté la terre c'était pour être mieux payé,
Pis asteur t'as un gros char pis une grosse télévision,
Pis quand ce tu montes là-haut c'est d'la broue pis des grands mots.
Wayne crie les outardes qui montent vers le nord,
Et toi qui les regarde en enviant leur sort,
Du fond de les montagnes, des lacs des p't*** brulé,
Y crieront ta misère aux forêts qu't'as bûchées.
Y crieront ta misère aux forêts qu't'as bûchées.