Tu prenais ce malin plaisir
A passer et repasser nue, devant la fenêtre
Et moi je t'épiais de la maison den face, si jeune
Bouillonnant et ma vie qui arrivait
Je t'espionne aujourd'hui encore de temps en temps
Seule et sans amour
Mais je crois que c'est ta fille que j'aperçois la bas
Tu ne peux plu être si belle
Mille ans d'ennui, mille ans à pleurer dans la cuisine
Les mains brisées dans l'ignoble vaisselle
Dis-moi si ta vie doit ressembler a ca
Et de ma propre main j'abattrais ton mari sur le champ
Le salop qui t'as creusé les joues et ôté toute envie d'être belle
Quand ta bouche avait encore mille chansons et ton cœur mille projets
Il t'a cueilli le salopard et de tes vingt-trente ans, il a tout défriché
Il n'a laissé que l'ombre d'une fleur désolée
Il n'a laissé que l'ombre d'une fleur
Nous pleurions sur tout ca, l'autre soir
Avec d'autres tristesses
Et ta longue peau morte sur l'immortel comptoir
Nous autres qui aurions pu t'offrir la vie dorée à toi
La plus belle fille de toutes nos jeunesses
Toi que l'on voit vieillir avec le cœur si noir
Tu prenais ce malin plaisir à passer et repasser nue devant la fenêtre
Et moi, je t'épiais de la maison d'en face
Si jeune, bouillonnant, et ma vie qui arrivait
Je t'espionne aujourd'hui encore de temps en temps
Seule et sans amour
Mais je crois que c'est ta fille que j'aperçois la bas
Tu ne peux plus être si belle
A passer et repasser nue, devant la fenêtre
Et moi je t'épiais de la maison den face, si jeune
Bouillonnant et ma vie qui arrivait
Je t'espionne aujourd'hui encore de temps en temps
Seule et sans amour
Mais je crois que c'est ta fille que j'aperçois la bas
Tu ne peux plu être si belle
Mille ans d'ennui, mille ans à pleurer dans la cuisine
Les mains brisées dans l'ignoble vaisselle
Dis-moi si ta vie doit ressembler a ca
Et de ma propre main j'abattrais ton mari sur le champ
Le salop qui t'as creusé les joues et ôté toute envie d'être belle
Quand ta bouche avait encore mille chansons et ton cœur mille projets
Il t'a cueilli le salopard et de tes vingt-trente ans, il a tout défriché
Il n'a laissé que l'ombre d'une fleur désolée
Il n'a laissé que l'ombre d'une fleur
Nous pleurions sur tout ca, l'autre soir
Avec d'autres tristesses
Et ta longue peau morte sur l'immortel comptoir
Nous autres qui aurions pu t'offrir la vie dorée à toi
La plus belle fille de toutes nos jeunesses
Toi que l'on voit vieillir avec le cœur si noir
Tu prenais ce malin plaisir à passer et repasser nue devant la fenêtre
Et moi, je t'épiais de la maison d'en face
Si jeune, bouillonnant, et ma vie qui arrivait
Je t'espionne aujourd'hui encore de temps en temps
Seule et sans amour
Mais je crois que c'est ta fille que j'aperçois la bas
Tu ne peux plus être si belle