REFRAIN :
On se débat pour rester debout,
mais sans dégâts et sans dégoûts,
dur de vous trouver la formule.
Sans citer de nom, sans régler ses comptes, sans donner de leçons ;
sans qu'en-dira-t-on, sans inspirer la honte, la peur comme seule raison.
[Où es-tu donc passé, cher pays des droits de l'Homme ?
Muré par un secours cathodique sans Dieu ni Maître mais de foi et de loi ?
Ou tout simplement tombé dans l'oubli ?
Aux âmes de bonnes volonté encore a**ujetties d'espoirs et de rêves,
il apparaît désormais que la parité des peuples n'est plus à l'ordre du jour de l'homme de pouvoir ;
qui n'a pour desseins qu'un ventre plein et son emprunte dans les livres d'Histoire.]
Quand le ventriloque chante, sa main nous sourit, mais lorsqu'il se plante c'est le pantin qu'on brûle pour hérésie.
Son jouet n'est plus, ses lèvres bougent à peine, mais bizarrement la langue de bois à survécue à la rengaine.
REFRAIN
Malgré les censeurs, les puissants et les offenses, nous avançons.
Malgré les effusions de sang, nous tous fusionnons sur le son.
C'est plus fort que nous, c'est une maladie,
cette fâcheuse habitude qui nous porte en martyr ou maître :
l'humain passe son sursis à éviter de chercher remède au mal-être.
Commençons peut être en chassant le requin qui veut faire avaler ses couleuvres,
nous faire payer la pluie et vendre que la Terre est plate.
Et si tel et bel est bien ton destin d'achever ton oeuvre,
à défaut de porter ses fruits nous viendront jeter des tomates...
REFRAIN
On se débat pour rester debout,
mais sans dégâts et sans dégoûts,
dur de vous trouver la formule.
Sans citer de nom, sans régler ses comptes, sans donner de leçons ;
sans qu'en-dira-t-on, sans inspirer la honte, la peur comme seule raison.
[Où es-tu donc passé, cher pays des droits de l'Homme ?
Muré par un secours cathodique sans Dieu ni Maître mais de foi et de loi ?
Ou tout simplement tombé dans l'oubli ?
Aux âmes de bonnes volonté encore a**ujetties d'espoirs et de rêves,
il apparaît désormais que la parité des peuples n'est plus à l'ordre du jour de l'homme de pouvoir ;
qui n'a pour desseins qu'un ventre plein et son emprunte dans les livres d'Histoire.]
Quand le ventriloque chante, sa main nous sourit, mais lorsqu'il se plante c'est le pantin qu'on brûle pour hérésie.
Son jouet n'est plus, ses lèvres bougent à peine, mais bizarrement la langue de bois à survécue à la rengaine.
REFRAIN
Malgré les censeurs, les puissants et les offenses, nous avançons.
Malgré les effusions de sang, nous tous fusionnons sur le son.
C'est plus fort que nous, c'est une maladie,
cette fâcheuse habitude qui nous porte en martyr ou maître :
l'humain passe son sursis à éviter de chercher remède au mal-être.
Commençons peut être en chassant le requin qui veut faire avaler ses couleuvres,
nous faire payer la pluie et vendre que la Terre est plate.
Et si tel et bel est bien ton destin d'achever ton oeuvre,
à défaut de porter ses fruits nous viendront jeter des tomates...
REFRAIN