Juré,
on s'en fume une et
on vide le plancher de la station
Mais grillés,
les flics se pointent et,
contrôle d'identité, oh non de non
Je fais des ronds et je me marre
en pensant à ce vieux Ronsard
Et nous dans cent années, en cendres
Je fais un hic et je me marre
en pensant à ce con d'Icare
Et nos ailes brûlées
Prisonniers,
menottes aux poignets,
ça fait mal beauté, rêve et gloire
Mais n'avais-je pas vu arriver,
les fourgons blindés
et leurs gyrophares
Je fais des ronds et je me marre
en pensant à ce vieux Ronsard
Et nous dans cent années, ensemble
Je fais un hic et je me marre,
dans peu de temps et pour de bon,
On se sera évadés,
et jamais plus, ils ne pourront nous retrouver
Nos deux éperviers,
en plein vol d'été,
se sont fait plumer, quel cauchemar
Et moi, je voyais, des larmes couler,
sur tes joues éclairées, par les phares
Piégés,
accroche-toi poupée,
passe-moi le briquet,
Et jamais plus ils ne pourront nous retrouver
Je fume et je finis par croire
que comme cette cigarette noire
Je te nuis ma beauté
Mais poumons clean ou poumons noirs,
qu'est-ce qu'on s'en f*** puisque demain
C'est la fin de l'été
Car nicotine et corbillard
peu m'importe demain on sera des voleurs envolés
Alors faisons des ronds et des ronsards
de fumée blonde, de fumée noire
Et souris ma Bonnie
Car jamais plus ils ne pourront nous retrouver
on s'en fume une et
on vide le plancher de la station
Mais grillés,
les flics se pointent et,
contrôle d'identité, oh non de non
Je fais des ronds et je me marre
en pensant à ce vieux Ronsard
Et nous dans cent années, en cendres
Je fais un hic et je me marre
en pensant à ce con d'Icare
Et nos ailes brûlées
Prisonniers,
menottes aux poignets,
ça fait mal beauté, rêve et gloire
Mais n'avais-je pas vu arriver,
les fourgons blindés
et leurs gyrophares
Je fais des ronds et je me marre
en pensant à ce vieux Ronsard
Et nous dans cent années, ensemble
Je fais un hic et je me marre,
dans peu de temps et pour de bon,
On se sera évadés,
et jamais plus, ils ne pourront nous retrouver
Nos deux éperviers,
en plein vol d'été,
se sont fait plumer, quel cauchemar
Et moi, je voyais, des larmes couler,
sur tes joues éclairées, par les phares
Piégés,
accroche-toi poupée,
passe-moi le briquet,
Et jamais plus ils ne pourront nous retrouver
Je fume et je finis par croire
que comme cette cigarette noire
Je te nuis ma beauté
Mais poumons clean ou poumons noirs,
qu'est-ce qu'on s'en f*** puisque demain
C'est la fin de l'été
Car nicotine et corbillard
peu m'importe demain on sera des voleurs envolés
Alors faisons des ronds et des ronsards
de fumée blonde, de fumée noire
Et souris ma Bonnie
Car jamais plus ils ne pourront nous retrouver