Le soleil et l'ouvrier se lèvent sans se plaindre Dehors la première benne n'est pas encore partie quelques rêvent encore qui colore cette étreinte avant le corps a corps ou chaque heure a un prix. Leurs caresses se mèlent sur la joue d'une femme, qu'ils trouvent encore belle après les drames. Ils voient dans son sommeil les jours heureux, ils savent qu'il s'en rappelle quand elle ouvre les yeux. Et elle est passé la nuit trop brève, dans les cœurs c'est la grève il n'y a plus de printemps, ils attendent la relève ouai le soleil et l'ouvrier. Ils sont les deux derniers camarades à voir aux coins des rues des barricades et du temps pour s'aimer c'est le soleil et l'ouvrier.
Le soleil et l'ouvrier en ont construits des chemins et même dans leurs sommeil ils soulèvent des parpaings. ils gardent un morceaux de cuir au creux des mains, ils rêvent d'un voyage un voyage sans fin. Quand le marchand de sable ne vend plus que des graviers, les paupières en ballade laissent prendre le ciment; la où il y a nom et un cœur de gravé par la branche anonyme qui scelle les sermons. Et elle s'est perdue dans la nuit la fièvre dans les cœurs c'est la grève il n'y a plus de printemps, ils attendent la relève ouai le soleil et l'ouvrier. Ils sont les deux derniers camarades à voir aux coins des rues des barricades et du temps pour s'aimer c'est le soleil et l'ouvrier.
Le soleil il est tricar et l'ouvrier sur cythere, la grisaille pour l'un le medef pour son frère, il lèvera le poing et finira sous terre à diluer dans la sueur ces venants prolétaires, à diluer dans la sueur ces venants prolétaires.
Et elle s'est perdue dans la nuit la fièvre dans les cœurs c'est la grève il n'y a plus de printemps, que du sable et des prières dans le sommeil des ouvriers. Mais à l'heure du premier bus les camarades ont encore aux coins des rues des barricades et du temps pour rêver , c'est le soleil et l'ouvrier............
Le soleil et l'ouvrier en ont construits des chemins et même dans leurs sommeil ils soulèvent des parpaings. ils gardent un morceaux de cuir au creux des mains, ils rêvent d'un voyage un voyage sans fin. Quand le marchand de sable ne vend plus que des graviers, les paupières en ballade laissent prendre le ciment; la où il y a nom et un cœur de gravé par la branche anonyme qui scelle les sermons. Et elle s'est perdue dans la nuit la fièvre dans les cœurs c'est la grève il n'y a plus de printemps, ils attendent la relève ouai le soleil et l'ouvrier. Ils sont les deux derniers camarades à voir aux coins des rues des barricades et du temps pour s'aimer c'est le soleil et l'ouvrier.
Le soleil il est tricar et l'ouvrier sur cythere, la grisaille pour l'un le medef pour son frère, il lèvera le poing et finira sous terre à diluer dans la sueur ces venants prolétaires, à diluer dans la sueur ces venants prolétaires.
Et elle s'est perdue dans la nuit la fièvre dans les cœurs c'est la grève il n'y a plus de printemps, que du sable et des prières dans le sommeil des ouvriers. Mais à l'heure du premier bus les camarades ont encore aux coins des rues des barricades et du temps pour rêver , c'est le soleil et l'ouvrier............