Sans toi je recompte et par centaines
Tes voix qui me manquent mais quelle veine
A moitié chemin, tout me ramène
Aux joies de nos heures érogènes
Sers toi de mon corps et soit certaine
J'ai choisi l'amour malgré les chaînes
Aux doigts qui nous montrent au loin l'éden
Aux toiles de maîtres, aux chansons hautaines
Sans toi je recompte et par centaines
Tes voix qui me manquent mais quelle veine
A moitié chemin, tout me ramène
Aux joies de nos heures érogènes
En toi, je le sais j'ai mes antennes
Les rois sont mangés et par les reines
Mais dois-je dire que j'ai si l'idée gêne
De quoi nous prendre au mot verlan, quen
Sans toi je recompte et par centaines
De voix, nos je t'aime et trop de veine
A moitié chemin tout me ramène
Aux joies de nos heures érogènes
Des mois des nuits que je me démène
De soirs de première en jeux de scène
Mais trois ou six temps, les notes m'entraînent
Au bois dormant chez toi, quelle aubaine
Sans toi je recompte et par centaines
Tes voix qui me manquent mais quelle veine
A moitié chemin, tout me ramène
Aux joies de nos heures érogène
Tes voix qui me manquent mais quelle veine
A moitié chemin, tout me ramène
Aux joies de nos heures érogènes
Sers toi de mon corps et soit certaine
J'ai choisi l'amour malgré les chaînes
Aux doigts qui nous montrent au loin l'éden
Aux toiles de maîtres, aux chansons hautaines
Sans toi je recompte et par centaines
Tes voix qui me manquent mais quelle veine
A moitié chemin, tout me ramène
Aux joies de nos heures érogènes
En toi, je le sais j'ai mes antennes
Les rois sont mangés et par les reines
Mais dois-je dire que j'ai si l'idée gêne
De quoi nous prendre au mot verlan, quen
Sans toi je recompte et par centaines
De voix, nos je t'aime et trop de veine
A moitié chemin tout me ramène
Aux joies de nos heures érogènes
Des mois des nuits que je me démène
De soirs de première en jeux de scène
Mais trois ou six temps, les notes m'entraînent
Au bois dormant chez toi, quelle aubaine
Sans toi je recompte et par centaines
Tes voix qui me manquent mais quelle veine
A moitié chemin, tout me ramène
Aux joies de nos heures érogène