Pactiser par le sang du désespoir pour réussir a enfin n'entendre qu'une seule voix, la cruelle industrie abandonne ses dernières étoiles à l'agonie, coïncidences injustes des intérêts. Sans aucun état d'âme, comme la mort il donne la mise à prix, d'un art devenu sans âme qui finit par se vendre à tout prix. Toujours les mêmes visages jamais les mêmes personnes, futiles plastiques qui n'ont plus aucun sens. C'est la beauté du diable, nous faire succomber à la tentation de cette cynique mise en scène. Tout ça ne veut plus rien dire, il n'y a plus rien à croire. Sans aucun état d'âme, comme la mort il donne la mise à prix, d'un art devenu sans âme qui finit par se vendre à tout prix. Donnons-nous corps et âme, sans jamais croire que tout a un prix. La beauté du diable.