Au sommet d'une colline contournée à sa base par la Loire
Gisent les ruines du château de Montsuc
Dont les sombres tours reflètent les atrocités commises jadis.
Voici ce que racontent les vieilles femmes le soir à la veillée.
Le dernier des seigneurs rançonnait voyageurs et marchands.
Il battait les paysans et les faisait pendre.
Enlevant les jeunes filles pour les martyriser.
Il faisait placer dans le feu les pieds des enfants
Qui braconnaient en ses terres.
Il laissa mourir une belle jeune noble
Dans une lente agonie pour la punir de sa résistance
Mais un beau jour, le baron de Montsuc disparut.
Des voyageurs affirment qu'un animal
Dont les yeux lançaient des éclairs et la gueule des flammes
Dévorait hommes et animaux avec la vitesse du vent
S'acharnait sur les femmes et enfants
Enlevant les jeunes filles qui gardaient leurs troupeaux.
Ont eut recours aux neuvaines et aux prières pour ses débarrasser de ce fléau
Aucun chasseur n'osait affronter l'animal surnaturel
On trouvait des membres d'enfants disséminés sous les arbres.
Un soir, le monstre tentait d'emporter une jeune fille
Entendant les cris désespérés, un bûcheron
D'un coup de cognée brise les reins de l'animal.
La bête blessée se métamorphosa
En la personne du baron expirant tous ses pêchés.
La légende conserve le souvenir des méfaits des seigneurs
Dont un grand nombre seront punis aux Grands-jours d'Auvergne.
[Lyrics up by Silverat]
Gisent les ruines du château de Montsuc
Dont les sombres tours reflètent les atrocités commises jadis.
Voici ce que racontent les vieilles femmes le soir à la veillée.
Le dernier des seigneurs rançonnait voyageurs et marchands.
Il battait les paysans et les faisait pendre.
Enlevant les jeunes filles pour les martyriser.
Il faisait placer dans le feu les pieds des enfants
Qui braconnaient en ses terres.
Il laissa mourir une belle jeune noble
Dans une lente agonie pour la punir de sa résistance
Mais un beau jour, le baron de Montsuc disparut.
Des voyageurs affirment qu'un animal
Dont les yeux lançaient des éclairs et la gueule des flammes
Dévorait hommes et animaux avec la vitesse du vent
S'acharnait sur les femmes et enfants
Enlevant les jeunes filles qui gardaient leurs troupeaux.
Ont eut recours aux neuvaines et aux prières pour ses débarrasser de ce fléau
Aucun chasseur n'osait affronter l'animal surnaturel
On trouvait des membres d'enfants disséminés sous les arbres.
Un soir, le monstre tentait d'emporter une jeune fille
Entendant les cris désespérés, un bûcheron
D'un coup de cognée brise les reins de l'animal.
La bête blessée se métamorphosa
En la personne du baron expirant tous ses pêchés.
La légende conserve le souvenir des méfaits des seigneurs
Dont un grand nombre seront punis aux Grands-jours d'Auvergne.
[Lyrics up by Silverat]