Monstre aquatique à l'apparence humaine
Tu parcours nos campagnes à la nuit tombée
En prenant toute forme que t'inspire ta cruauté.
Esprit du diable et de la perversité
Tu te distraies des misères des hommes.
Tout près du ruisseau aux Narcisses
Alors qu'un jeune homme boiteux
Aperçut un mouton qui bêlait
Saisit désespérément l'animal
Pour le transporter sur son dos.
Mais il comprend brusquement
L'injustice de son action.
L'infâmant a élu domicile
Sur le corps du bougre.
Une femme fut emportée par le courant du Rhône
Dans les entrailles d'une caverne
Où l'abject s'était niché.
Il lui ordonna de donner son sein
Pour remplir de son sang une coupe ;
La souillant pendant sept ans.
Il y avait autrefois une maison
Où il se jouait des habitants.
Dans les tréfonds les plus obscurs,
On entendait une voix, qui riait à bouche.
L'espiègle se promenait
Dans les greniers, traînant des chaînes
Qui produisaient un bruit d'enfer.
Il tenait à savoir le nombre de toute chose qu'il voyait.
On mettait dans le coin des chambres
Des tas de graines de lin
Le lutin préférait alors s'en aller
Que de se livrer à un labeur aussi accablant.
[Lyrics up by Silverat]
Tu parcours nos campagnes à la nuit tombée
En prenant toute forme que t'inspire ta cruauté.
Esprit du diable et de la perversité
Tu te distraies des misères des hommes.
Tout près du ruisseau aux Narcisses
Alors qu'un jeune homme boiteux
Aperçut un mouton qui bêlait
Saisit désespérément l'animal
Pour le transporter sur son dos.
Mais il comprend brusquement
L'injustice de son action.
L'infâmant a élu domicile
Sur le corps du bougre.
Une femme fut emportée par le courant du Rhône
Dans les entrailles d'une caverne
Où l'abject s'était niché.
Il lui ordonna de donner son sein
Pour remplir de son sang une coupe ;
La souillant pendant sept ans.
Il y avait autrefois une maison
Où il se jouait des habitants.
Dans les tréfonds les plus obscurs,
On entendait une voix, qui riait à bouche.
L'espiègle se promenait
Dans les greniers, traînant des chaînes
Qui produisaient un bruit d'enfer.
Il tenait à savoir le nombre de toute chose qu'il voyait.
On mettait dans le coin des chambres
Des tas de graines de lin
Le lutin préférait alors s'en aller
Que de se livrer à un labeur aussi accablant.
[Lyrics up by Silverat]