Refrain:
Qu'est ce que tu veux j'aime être oisif, oisif..
Dans ce monde ou vaudrait être mieux être productif,
J'aime bien dé-glan même si c'est corrosif,
Rien n'est absolu tout est relatif (x2)
Je marche avec les deux pieds, et laisse agir notre invitée l'oisiveté,
Telle la mère de toutes les pensées, le couronnement de toutes les vertus,
C'est pas d'moi je l'ai lu, je dirais que ça m'a plu.
La force d'inertie me cloue au lit.
Est-ce elle ou moi mon pire ennemi?
Va savoir ça c'est la faute à qui, si le droit de ne rien faire n'est pas un acquis.
Sérieusement je te parle de chader simplement,
Pas de désoeuvrement, juste prendre son temps.
Aborder les choses plus calmement.
La course au talbin, c'est stressant,
Le marché du travail c'est constipant.
Il paraît qu'il y a pas de place pour les fainéants,
Qui sont condamnés à rester perdants,
Et que pour réussir ils manquent de mordant.
Si c'était vrai, ça saurait depuis longtemps.
Refrain
Pour un fragment d'éternité, un water-bed pour se prélasser.
Tranquille comme le chat, qui a le temps pour s'étirer,
La bouffe a**urée, la sieste pour digérer.
Vive la paresse, le seule science de la sagesse,
Sa mère la dèche qui te fait contracter les fesses,
28 ans célibataire, pas propriétaire,
J'ai pas le sens des affaires, encore moins l'âme d'un gangster.
Pas encore nouveau riche, et pas né bourgeois,
Au CIO ils me disent de boire de la Badoit.
Moi je fais quoi? J'reste allongé, j'reste allongé!
Pas vraiment Billy, j'en profite pour méditer.
Pendant qu'ils taffent, l'tout c'est d'mettre de côté,
Une dérogation pour mes congés payés.
Des RTT, en forfait illimité pour voyager,
Et quelques rentes à palper.
Ca fait tellement d'bien d'oublier la réalité,
Mais il faut déscotcher ou tu peux rester coller,
Je méfie de mes réflexions,
Aussi bien je suis bon pour le short de sudation
Refrain
Qu'est ce que tu veux j'aime être oisif, oisif..
Dans ce monde ou vaudrait être mieux être productif,
J'aime bien dé-glan même si c'est corrosif,
Rien n'est absolu tout est relatif (x2)
Je marche avec les deux pieds, et laisse agir notre invitée l'oisiveté,
Telle la mère de toutes les pensées, le couronnement de toutes les vertus,
C'est pas d'moi je l'ai lu, je dirais que ça m'a plu.
La force d'inertie me cloue au lit.
Est-ce elle ou moi mon pire ennemi?
Va savoir ça c'est la faute à qui, si le droit de ne rien faire n'est pas un acquis.
Sérieusement je te parle de chader simplement,
Pas de désoeuvrement, juste prendre son temps.
Aborder les choses plus calmement.
La course au talbin, c'est stressant,
Le marché du travail c'est constipant.
Il paraît qu'il y a pas de place pour les fainéants,
Qui sont condamnés à rester perdants,
Et que pour réussir ils manquent de mordant.
Si c'était vrai, ça saurait depuis longtemps.
Refrain
Pour un fragment d'éternité, un water-bed pour se prélasser.
Tranquille comme le chat, qui a le temps pour s'étirer,
La bouffe a**urée, la sieste pour digérer.
Vive la paresse, le seule science de la sagesse,
Sa mère la dèche qui te fait contracter les fesses,
28 ans célibataire, pas propriétaire,
J'ai pas le sens des affaires, encore moins l'âme d'un gangster.
Pas encore nouveau riche, et pas né bourgeois,
Au CIO ils me disent de boire de la Badoit.
Moi je fais quoi? J'reste allongé, j'reste allongé!
Pas vraiment Billy, j'en profite pour méditer.
Pendant qu'ils taffent, l'tout c'est d'mettre de côté,
Une dérogation pour mes congés payés.
Des RTT, en forfait illimité pour voyager,
Et quelques rentes à palper.
Ca fait tellement d'bien d'oublier la réalité,
Mais il faut déscotcher ou tu peux rester coller,
Je méfie de mes réflexions,
Aussi bien je suis bon pour le short de sudation
Refrain