La vie est un bien perdu
Quand on ne l'a pas vécu
Comme on l'aurait voulu
La vie est un bien perdu
Quand on ne l'a pas vécu
Comme on l'aurait voulu
On vit pour qui et pour quoi
Je me demande ça parfois
Quand je vois la lassitude man
Sur les faces autour de moi
On taffe pour qui déjà
Avant le 15 du mois
Y a plus de thune sur le compte en banque
Et qu'on ne sait si on
Finira sous un pont ou sous un toit
A l'hôtel ou dans une bouche de métro
Sous le regard indifférent des pélos
A rester là juste parce qu'il fait chaud
De nos jours par les temps qui courent
De loin je préfère être aveugle que sourd je crois
Même l'amour ne sauve pas de la précarité
La vie reste belle mais le monde est sans pitié
La réalité nous brûle, nous mord de ses crocs acérés
Laissant les plus largués sur le bas-côté
Et
(refrain)
Incompréhension quiproquo
On se bat pour la même chose à différents niveaux
On perd sa vie à tenter de la gagner
Où on perd la raison et finit interné
Je vois le visage marqué des gens trop anxieux
Et la porte de la solitude derrière leur yeux
Je ne prie pas pour eux
Ai des doutes sur Dieu
Leur souhaite seulement que ça aille mieux
Je vis plus que hier
Et moins que demain c'est clair
Préfère me taire juste pour ne pas parler
Laisser s'installer le silence
Les jours passent comme les nuages
Et j'ignore presque tout
Sauf que les oiseaux là-haut rient de nous
(refrain)
Mais je ne me lasse pas de rêver
Besoin d'espérer qu'un jour les choses vont changer
Putain j'y crois m'y accroche
Pour en avoir un bout
Et en connaitre le goût
Avant que le grand cric ne me croque et ne m'estirpe de mon crew
Hey l'ami je veux qu'on s'amuse comme des fous
Quand c'est qu'on me jetera dans l'trou
non mais sérieux ça serait mieux
si je pouvais mourir heureux
et un dernier éclat de bonheur ferait brouiller mes yeux
avant que je les perde et ne me retrouve seul derrière eux
et ne me retrouve seul derrière eux
(refrain)
Quand on ne l'a pas vécu
Comme on l'aurait voulu
La vie est un bien perdu
Quand on ne l'a pas vécu
Comme on l'aurait voulu
On vit pour qui et pour quoi
Je me demande ça parfois
Quand je vois la lassitude man
Sur les faces autour de moi
On taffe pour qui déjà
Avant le 15 du mois
Y a plus de thune sur le compte en banque
Et qu'on ne sait si on
Finira sous un pont ou sous un toit
A l'hôtel ou dans une bouche de métro
Sous le regard indifférent des pélos
A rester là juste parce qu'il fait chaud
De nos jours par les temps qui courent
De loin je préfère être aveugle que sourd je crois
Même l'amour ne sauve pas de la précarité
La vie reste belle mais le monde est sans pitié
La réalité nous brûle, nous mord de ses crocs acérés
Laissant les plus largués sur le bas-côté
Et
(refrain)
Incompréhension quiproquo
On se bat pour la même chose à différents niveaux
On perd sa vie à tenter de la gagner
Où on perd la raison et finit interné
Je vois le visage marqué des gens trop anxieux
Et la porte de la solitude derrière leur yeux
Je ne prie pas pour eux
Ai des doutes sur Dieu
Leur souhaite seulement que ça aille mieux
Je vis plus que hier
Et moins que demain c'est clair
Préfère me taire juste pour ne pas parler
Laisser s'installer le silence
Les jours passent comme les nuages
Et j'ignore presque tout
Sauf que les oiseaux là-haut rient de nous
(refrain)
Mais je ne me lasse pas de rêver
Besoin d'espérer qu'un jour les choses vont changer
Putain j'y crois m'y accroche
Pour en avoir un bout
Et en connaitre le goût
Avant que le grand cric ne me croque et ne m'estirpe de mon crew
Hey l'ami je veux qu'on s'amuse comme des fous
Quand c'est qu'on me jetera dans l'trou
non mais sérieux ça serait mieux
si je pouvais mourir heureux
et un dernier éclat de bonheur ferait brouiller mes yeux
avant que je les perde et ne me retrouve seul derrière eux
et ne me retrouve seul derrière eux
(refrain)