Voilà
Que la terre en vain se baisse
Pour ramasser toute chose
Que le temps toujours dispose
Pour l'oubli et l'au-delà...
Le vent, sans amertume
Ronge les vieilles dunes
Des plages grises de brumes
Des corbeaux, des rapaces
Qui ont conquis l'espace
Là-bas où s'évanouissent
Tous nos étés...
Là-bas
Ou la dernière graine
Sera sans fruit, sans germe
La terre sans joie, sans peine
La terre oublie déjà
Qu'ici dans un autre age
Des hérons en voyage
Volaient là par centaines
Là où les corbeaux viennent
Envahir tout l'espace
Là-bas où s'évanouissent
Tous nos étés...
Que la terre en vain se baisse
Pour ramasser toute chose
Que le temps toujours dispose
Pour l'oubli et l'au-delà...
Le vent, sans amertume
Ronge les vieilles dunes
Des plages grises de brumes
Des corbeaux, des rapaces
Qui ont conquis l'espace
Là-bas où s'évanouissent
Tous nos étés...
Là-bas
Ou la dernière graine
Sera sans fruit, sans germe
La terre sans joie, sans peine
La terre oublie déjà
Qu'ici dans un autre age
Des hérons en voyage
Volaient là par centaines
Là où les corbeaux viennent
Envahir tout l'espace
Là-bas où s'évanouissent
Tous nos étés...