J'suis ni intégré, ni intégriste
J'reste juste intègre
Refrè pourquoi cet air triste? Cette vie n'est juste qu'un test
Intolérance au plus haut degré, l'Etat veut que s'écrase la délinquance de force ou de gré
crispés, des gestes aux phrases,
les flics rappellent une ère malsaine de ségrégation.
Des plantations d'coton s'évacuait la souffrance par le blues
des habitations d'béton, mon rap a pris le relais, mène à l'extase
que les nazes retiennent bien ma ville n'est pas Naplouse.
N'accepte ni oppression, ni couvre feu,
en dehors du son, trouve moi parmi ceux qui l'ouvrent peu.
Douze mois sur douze, moi et mes cous' bougeons en silence
le troisième oeil ouvert, l'esprit en mode vigilance, trop de poudre aux yeux;
briseur d'illusion, j'attire l'attention comme de la foudre dans les cieux,
Hey kho, t'as tourné l'dos au plan b pour un mauvais plan d'beuh
deux/trois taffes et tu prends ton envol.
Au sol les haineux sont nombreux, ne pense qu'à plomber, reluquent tes arrières de la nuque aux lombaires.
Dangereuse carrière,
la jalousie s'exprime en t'abîmant le cartilage,
en imprimant des impacts de balles sur le carénage.
s**e, crime, parrainage et cartel, ma génération à le langage mafieux,
mais de l'Italie n'a que le Tacchini Sergio à se f***re
et les insultes des supporters pendant les matchs de foot.
Et la France ne nous a pas épargné,
au regard du borgne négros, bicots, choines dans le même panier.
Méprisé, alors que je n'étais même pas né,
ma présence a les colonies pour cause, pour effet la pression dans le son,
sans agression dans le ton,
car la paix est préservée dans le fond,
Pour mes négros et bicots c'est Tolérance zéro
La haine,
de l'ignorance a émergé.
Pied d'airain cheveux de laine, mes gens traînent en marge d'un système ou le racisme est hébergé.
Ils se vantent d'avoir séparer l'état et le clergé,
mais dans nos mosquées implantent leur RG
tentent d'infiltrer et gérer ma foi, mon entourage formé comme un seul corps, de leur greffe a fait un rejet.
Bref trajet dans nos zones,
jeune, noir et décidé ma génération porte l'endurance dans les gênes, dans les chromosomes.
Microphone chrome dans la paume, de ma voix j'grave ma foi comme Daouda dans les psaumes,
entretien la marche avec Dieu et rappelle la doxologie du mieux que je peux.
Je loue l'Eternel,
ma voix et ma musique en harmonie, loue l'Eternel.
Allah entend ceux qui le louent
J'reste juste intègre
Refrè pourquoi cet air triste? Cette vie n'est juste qu'un test
Intolérance au plus haut degré, l'Etat veut que s'écrase la délinquance de force ou de gré
crispés, des gestes aux phrases,
les flics rappellent une ère malsaine de ségrégation.
Des plantations d'coton s'évacuait la souffrance par le blues
des habitations d'béton, mon rap a pris le relais, mène à l'extase
que les nazes retiennent bien ma ville n'est pas Naplouse.
N'accepte ni oppression, ni couvre feu,
en dehors du son, trouve moi parmi ceux qui l'ouvrent peu.
Douze mois sur douze, moi et mes cous' bougeons en silence
le troisième oeil ouvert, l'esprit en mode vigilance, trop de poudre aux yeux;
briseur d'illusion, j'attire l'attention comme de la foudre dans les cieux,
Hey kho, t'as tourné l'dos au plan b pour un mauvais plan d'beuh
deux/trois taffes et tu prends ton envol.
Au sol les haineux sont nombreux, ne pense qu'à plomber, reluquent tes arrières de la nuque aux lombaires.
Dangereuse carrière,
la jalousie s'exprime en t'abîmant le cartilage,
en imprimant des impacts de balles sur le carénage.
s**e, crime, parrainage et cartel, ma génération à le langage mafieux,
mais de l'Italie n'a que le Tacchini Sergio à se f***re
et les insultes des supporters pendant les matchs de foot.
Et la France ne nous a pas épargné,
au regard du borgne négros, bicots, choines dans le même panier.
Méprisé, alors que je n'étais même pas né,
ma présence a les colonies pour cause, pour effet la pression dans le son,
sans agression dans le ton,
car la paix est préservée dans le fond,
Pour mes négros et bicots c'est Tolérance zéro
La haine,
de l'ignorance a émergé.
Pied d'airain cheveux de laine, mes gens traînent en marge d'un système ou le racisme est hébergé.
Ils se vantent d'avoir séparer l'état et le clergé,
mais dans nos mosquées implantent leur RG
tentent d'infiltrer et gérer ma foi, mon entourage formé comme un seul corps, de leur greffe a fait un rejet.
Bref trajet dans nos zones,
jeune, noir et décidé ma génération porte l'endurance dans les gênes, dans les chromosomes.
Microphone chrome dans la paume, de ma voix j'grave ma foi comme Daouda dans les psaumes,
entretien la marche avec Dieu et rappelle la doxologie du mieux que je peux.
Je loue l'Eternel,
ma voix et ma musique en harmonie, loue l'Eternel.
Allah entend ceux qui le louent