Ca baratine sur la vraie nature de l'homme, veulent voir nos gens en d'ssous c'est dar. S'demandent pourquoi on agit en barbare, un truc de bâtard c'est dans leurs artères, mauvais caractère on l'acquiert à force de voir des sodomites au pouvoir. On vit vénère donc vulgaire, conscient qu'ils veulent qu'on sue, comme dans les champs d'cotons, qu'on s'consume comme dans un holocauste. Nos générations sacrifiées échappées des castes, ont reçu le message : on est des hommes libres, avance debout, pas en rampant, entends et comprends, soldat le sang froid pendant le bonchar, les montées d'adrénaline comme des batteries on s'aligne et pour l'ennemi j'suis le bad trip faut qu'y s'résignent. Allie l'intelligence à l'instinct, la tête aux tripes, m'agrippe à chaque instant car demain n'est pas certain. Froid et distant, fait flipper comme l'Irak et l'Pakistan d'où j'viens l'Mali où les anciens m'ont dit d'garder l'tempérament serein d'un air insistant.
a**ailli par la paix, la vérité se révèle ce monde n'est qu'une étape, ma musique s'échappe et s'élève vers le ciel comme une danse masaï. Bouclier et lance, mon 45 a la science de la défense et l'attaque, ma force de frappe ne s'exprime pas qu'en cognant l'sac. Initié à n'pas toucher à l'alcool, n'attends pas à ce que mon flow t'enivre comme de l'Hennessie cognac, barytons et ténors ont encore beaucoup à apprendre, quand ma voix se libère c'est pour faire taire le mal comme Mouadib dans Dune. Dérangés par mon art étrange, les rageux depuis les tripes, espèrent nous voir moi et ma clique sans thune. Banal, ambiance Panam, rien d'paranormal ou d'mystique, tout s'explique. Sans foi ni loi, se déploie le règne animal, plus sauvage que domestique. La réussite attire l'œil des c***nnes et des hyènes, au feu rouge, les chacals espèrent arracher un cayenne. Féroce, les anciens marqués aux fers rouges, nous ont offert la force en héritage. Idem pour les reuss, écoute-les chanter la résistance mieux que Feyrouz.
Chacun l'hôte de l'autre, Prendre place. Dans l'humilité, la gêne et le souci, t'accueillir... Comment ai-je pu imaginer que l'Amour était un ascète cheminant les pieds nus ensanglantés ? Comment !? Rends moi meilleure Que le pire vienne ! Je serai derrière toi la main sur ton épaule chut... Sois mon compagnon au-delà de l'Oraison Mon Amour ressemble à celui qui t'aime sans raison aucune.
a**ailli par la paix, la vérité se révèle ce monde n'est qu'une étape, ma musique s'échappe et s'élève vers le ciel comme une danse masaï. Bouclier et lance, mon 45 a la science de la défense et l'attaque, ma force de frappe ne s'exprime pas qu'en cognant l'sac. Initié à n'pas toucher à l'alcool, n'attends pas à ce que mon flow t'enivre comme de l'Hennessie cognac, barytons et ténors ont encore beaucoup à apprendre, quand ma voix se libère c'est pour faire taire le mal comme Mouadib dans Dune. Dérangés par mon art étrange, les rageux depuis les tripes, espèrent nous voir moi et ma clique sans thune. Banal, ambiance Panam, rien d'paranormal ou d'mystique, tout s'explique. Sans foi ni loi, se déploie le règne animal, plus sauvage que domestique. La réussite attire l'œil des c***nnes et des hyènes, au feu rouge, les chacals espèrent arracher un cayenne. Féroce, les anciens marqués aux fers rouges, nous ont offert la force en héritage. Idem pour les reuss, écoute-les chanter la résistance mieux que Feyrouz.
Chacun l'hôte de l'autre, Prendre place. Dans l'humilité, la gêne et le souci, t'accueillir... Comment ai-je pu imaginer que l'Amour était un ascète cheminant les pieds nus ensanglantés ? Comment !? Rends moi meilleure Que le pire vienne ! Je serai derrière toi la main sur ton épaule chut... Sois mon compagnon au-delà de l'Oraison Mon Amour ressemble à celui qui t'aime sans raison aucune.