Le crime est un piège, mon Dieu m'a fait lacher l'appât
il s'agit plus d'a**urer le dej' et le repas
les khos veulent le roro sur le siège
sur un trône être bien a**is
mais n'est pas qui veut Haillé Sélassié
les époques se succèdent à l'age de pierre suis celui du feu
ma periode celle de l'acier j'y survis du mieux que je peux
solidifié de mental et de corps
muslims on préserve la foi pour que les coeurs ne finissent pas sous scélés
ou sous la forme de glaciers un peu à la Iceberg Slim,
ici le plus gros pimp est à la tete de l'Etat escroque légalement
se présente sous un aspect clean
la plus grande ruse du diable est de faire croire qu'il n'existe pas à mon echelle
trop baratinent, les pantins pensent tirer les ficelles
veulent les cimes, le sommet, l'estime sans passer par la pente
la france d'en bas est un c** de sac,
pour en sortir celle d'en haut ma musique un braque à la tempe
tempéramment des briques ou trop nombreux craquent dans l'attente
les criquets se déplacent là où poussent les plantes
les khos du sahel et du sahara le savent très bien
l'aridité dans les poches et dans les yeux la sécheresse
loin de Dieu la jeunesse est pécheresse
pour ne pas effacer le sourire des mioches les anciens masquent la détresse
dépressif, l'esprit trop près des récifs, j'insiste, on préserve la foi
la tient ferme comme une braise ardente
et lacher prise... laisserait mon ame perdante
Tout est mathématique
on multilplie nos efforts
là où les cistras voudraeint nous soustraire
Paris sous stress
s'additionnent haine et mensonge honte
jalousie trahison réglement de compte
1970, s'ouvre les yeux pour ma génération de noirs et de crouilles
80 la dépouille, 90 la débrouille,
2000 le bruit et l'odeur ne sont plus les memes
sens la poudre, entends se vider les douilles
l'europe aurait Paris pour capiltal de l'embrouille
mes écrits sont ceux de la paix transcris les en braille
à ceux que la haine à aveuglé,
L.U.N.A.T.I.C j'ai mis une croix dessus comme Ali l'a fait pour Cassius Clay
comme mes jeunes négros Youssouf et stephen
le système a vu en moi un cas suspect
pour ma propre défense je ficelle mes rimes
pendant que sur tatami à la brésilienne
mon frelon casse les clefs
ne flippes pas pour tes articulations
on veut juste peter les chaines
que nos messages se déplacent à travers les ondes hertziennes
on reve de s'échapper de ce monde ou qu'il nous appartienne
la réalité est que les zonz sont pleines
c'est pour mes tetes de bronzes incarcerées
le coeur serré, harrassé par des tentations à faire ceder un bronze
betement Tony a tué Mani,
pire que la guerre la zizanie accélère tes pulsations tes battements
trop près des batiments trop loin de la Tanzanie
on aspire à approcher la beauté du Serrenghetti
avoir la sérenité à ses cotés
comme le Hadj Malik l'a trouvé auprès d'el Shabbaz Betty
et face au stress de la ville, soit tu t'opposes ou subis,
topazes et rubis semblent ternes face à l'éclat de nos yeux, interne,
en nous meme est caché le bien le plus précieux
C'est pour ca qu'on en veut souvent à l'autre
jalousie trahison réglement de compte
et le diable multiplie ses apotres
il s'agit plus d'a**urer le dej' et le repas
les khos veulent le roro sur le siège
sur un trône être bien a**is
mais n'est pas qui veut Haillé Sélassié
les époques se succèdent à l'age de pierre suis celui du feu
ma periode celle de l'acier j'y survis du mieux que je peux
solidifié de mental et de corps
muslims on préserve la foi pour que les coeurs ne finissent pas sous scélés
ou sous la forme de glaciers un peu à la Iceberg Slim,
ici le plus gros pimp est à la tete de l'Etat escroque légalement
se présente sous un aspect clean
la plus grande ruse du diable est de faire croire qu'il n'existe pas à mon echelle
trop baratinent, les pantins pensent tirer les ficelles
veulent les cimes, le sommet, l'estime sans passer par la pente
la france d'en bas est un c** de sac,
pour en sortir celle d'en haut ma musique un braque à la tempe
tempéramment des briques ou trop nombreux craquent dans l'attente
les criquets se déplacent là où poussent les plantes
les khos du sahel et du sahara le savent très bien
l'aridité dans les poches et dans les yeux la sécheresse
loin de Dieu la jeunesse est pécheresse
pour ne pas effacer le sourire des mioches les anciens masquent la détresse
dépressif, l'esprit trop près des récifs, j'insiste, on préserve la foi
la tient ferme comme une braise ardente
et lacher prise... laisserait mon ame perdante
Tout est mathématique
on multilplie nos efforts
là où les cistras voudraeint nous soustraire
Paris sous stress
s'additionnent haine et mensonge honte
jalousie trahison réglement de compte
1970, s'ouvre les yeux pour ma génération de noirs et de crouilles
80 la dépouille, 90 la débrouille,
2000 le bruit et l'odeur ne sont plus les memes
sens la poudre, entends se vider les douilles
l'europe aurait Paris pour capiltal de l'embrouille
mes écrits sont ceux de la paix transcris les en braille
à ceux que la haine à aveuglé,
L.U.N.A.T.I.C j'ai mis une croix dessus comme Ali l'a fait pour Cassius Clay
comme mes jeunes négros Youssouf et stephen
le système a vu en moi un cas suspect
pour ma propre défense je ficelle mes rimes
pendant que sur tatami à la brésilienne
mon frelon casse les clefs
ne flippes pas pour tes articulations
on veut juste peter les chaines
que nos messages se déplacent à travers les ondes hertziennes
on reve de s'échapper de ce monde ou qu'il nous appartienne
la réalité est que les zonz sont pleines
c'est pour mes tetes de bronzes incarcerées
le coeur serré, harrassé par des tentations à faire ceder un bronze
betement Tony a tué Mani,
pire que la guerre la zizanie accélère tes pulsations tes battements
trop près des batiments trop loin de la Tanzanie
on aspire à approcher la beauté du Serrenghetti
avoir la sérenité à ses cotés
comme le Hadj Malik l'a trouvé auprès d'el Shabbaz Betty
et face au stress de la ville, soit tu t'opposes ou subis,
topazes et rubis semblent ternes face à l'éclat de nos yeux, interne,
en nous meme est caché le bien le plus précieux
C'est pour ca qu'on en veut souvent à l'autre
jalousie trahison réglement de compte
et le diable multiplie ses apotres