Quand la nuit le ciel s'éclaire
Et vite file la lumière
Les jours sont déjà comptés
Toute une vie qui défile
Quelques instants qui brillent
Et déjà le fil d'arrivée
Une goutte d'eau dans l'univers
Tout petits dans l'immensité
Et tous les souvenirs d'hier
Que les amours et les guerres
Deviennent traces de fumée
Qui je suis, qui je suis
Au beau milieu du désert
Dis-moi que faire, dis-moi que faire
Pas même le temps de traverser
Beaucoup trop éphémère
C'est beaucoup trop éphémère
Toutes les fois qu'on nous voit
Tous ces moments où l'on a fuit
Pour éviter le danger
Si l'on tend trop longtemps
Je n'ai rien fait, je n'ai rien dit
Pour ne pas déranger
Et la vie se prend sur mes terres
Un corps étranger dans le ciel
Se transforme en poussières d'or
La vie comme un météore
La vie comme un météore
La vie comme un météore
Et la vie se prend sur mes terres
Un corps étranger dans le ciel
Se transforme en poussières d'or
La vie comme un météore
La vie comme un météore
La vie comme un météore
Je me fabrique des ailes
Et je déchire le ciel
Quitte à me brûler le corps
La vie comme un météore
Et vite file la lumière
Les jours sont déjà comptés
Toute une vie qui défile
Quelques instants qui brillent
Et déjà le fil d'arrivée
Une goutte d'eau dans l'univers
Tout petits dans l'immensité
Et tous les souvenirs d'hier
Que les amours et les guerres
Deviennent traces de fumée
Qui je suis, qui je suis
Au beau milieu du désert
Dis-moi que faire, dis-moi que faire
Pas même le temps de traverser
Beaucoup trop éphémère
C'est beaucoup trop éphémère
Toutes les fois qu'on nous voit
Tous ces moments où l'on a fuit
Pour éviter le danger
Si l'on tend trop longtemps
Je n'ai rien fait, je n'ai rien dit
Pour ne pas déranger
Et la vie se prend sur mes terres
Un corps étranger dans le ciel
Se transforme en poussières d'or
La vie comme un météore
La vie comme un météore
La vie comme un météore
Et la vie se prend sur mes terres
Un corps étranger dans le ciel
Se transforme en poussières d'or
La vie comme un météore
La vie comme un météore
La vie comme un météore
Je me fabrique des ailes
Et je déchire le ciel
Quitte à me brûler le corps
La vie comme un météore