Un matin gris à en pleurer
La flemme de pousser les volets
A peine l'éveil revient la peine
Déçu d'encore me réveiller
Comme un dimanche toute la semaine
Sans les amis et le café
Les heures s'invitent et s'enchaînent
Dans la longueur de mes journées
Je ne veux plus voir le soleil
Maintenant qu'il t'a remplacée
Je n'ai plus que du bleu dans l'oeil
Et du vin pour me réchauffer
J'en ai perdu l'envie de rire
De ce que j'ai pu espérer
Les gens ont tendance à partir
Depuis qu' j'ai le cœur en chantier
Qu'elle soit de coton ou de haine
J'ai du mal à l'apprivoiser
Ce n'est pourtant qu'une petite peine
Mais vache comme une dent pas soignée
Quand je croise enfin le sommeil
Que la télé va se coucher
Une photo en écran de veille
Le téléphone pour oreiller
J'me dis demain, j'aurai plus de peine
A m'endormir sur les nôtres
J'aurai si j'ai un peu de veine
Comme oreiller les bras d'une autre
Ref : 2X
La flemme de pousser les volets
A peine l'éveil revient la peine
Déçu d'encore me réveiller
Comme un dimanche toute la semaine
Sans les amis et le café
Les heures s'invitent et s'enchaînent
Dans la longueur de mes journées
Je ne veux plus voir le soleil
Maintenant qu'il t'a remplacée
Je n'ai plus que du bleu dans l'oeil
Et du vin pour me réchauffer
J'en ai perdu l'envie de rire
De ce que j'ai pu espérer
Les gens ont tendance à partir
Depuis qu' j'ai le cœur en chantier
Qu'elle soit de coton ou de haine
J'ai du mal à l'apprivoiser
Ce n'est pourtant qu'une petite peine
Mais vache comme une dent pas soignée
Quand je croise enfin le sommeil
Que la télé va se coucher
Une photo en écran de veille
Le téléphone pour oreiller
J'me dis demain, j'aurai plus de peine
A m'endormir sur les nôtres
J'aurai si j'ai un peu de veine
Comme oreiller les bras d'une autre
Ref : 2X