J'ai glissé sur le fil d'un amour tortueux
J'ai soufflé sur l'idylle jusqu'à en prendre feu
J'ai voté pour l'exil d'mon coeur trop dangereux
Et lui ai dit adieu.
Désormais charmes, ritournelles de paille,
N'ont plus raison du sort,
On vous prend par la taille sans vous faire perdre le nord
Ils nous flattent et on baille, ils chantent et on s'endort,
On croit l'amour mort.
Pourtant le coeur a ses failles que la raison ignore
Quand des yeux aux entrailles on vous transperce le corps
Quand la raison déraille et l'coeur en demande encore
Quand on sait qu'on a tort.
Quand l'air me manque et l'coeur dans mes tempes
Tambourine, j'ai peur qu'il sorte de ma poitrine
Son souffle raisonne et je tourbillonne sur un fil
Au diable l'exil !
Tout se mélange la folie, la méfiance,
La crainte et l'insouciance,
Tout s'enchaîne trop vite, mais je brûle d'impatience
Je marche au bord du vide et l'horizon m'attire
Le décor avance.
Je perd pied j'ai peur mais je m'élance,
J'entre dans la mouvance,
Ca tangue et ça vacille, mais je reste dans la danse
Je cède à cette emprise, si c'était une méprise
Si c'était ma chance...
Son corps m'appelle, son âme m'ensorcelle...
Son souffle raisonne et je tourbillonne sur un fil
Au diable l'exil !
J'ai glissé sur le fil d'un amour tortueux,
J'ai soufflé sur l'idylle, et je me suis prise au jeu
J'ai conjuré l'exil et ravivé les feux
D'un coeur amoureux.
Quand l'air me manque et l'coeur dans mes tempes
Tambourine, j'ai peur qu'il sorte de ma poitrine
Son souffle raisonne et je tourbillonne sur un fil
Au diable l'exil !
J'ai soufflé sur l'idylle jusqu'à en prendre feu
J'ai voté pour l'exil d'mon coeur trop dangereux
Et lui ai dit adieu.
Désormais charmes, ritournelles de paille,
N'ont plus raison du sort,
On vous prend par la taille sans vous faire perdre le nord
Ils nous flattent et on baille, ils chantent et on s'endort,
On croit l'amour mort.
Pourtant le coeur a ses failles que la raison ignore
Quand des yeux aux entrailles on vous transperce le corps
Quand la raison déraille et l'coeur en demande encore
Quand on sait qu'on a tort.
Quand l'air me manque et l'coeur dans mes tempes
Tambourine, j'ai peur qu'il sorte de ma poitrine
Son souffle raisonne et je tourbillonne sur un fil
Au diable l'exil !
Tout se mélange la folie, la méfiance,
La crainte et l'insouciance,
Tout s'enchaîne trop vite, mais je brûle d'impatience
Je marche au bord du vide et l'horizon m'attire
Le décor avance.
Je perd pied j'ai peur mais je m'élance,
J'entre dans la mouvance,
Ca tangue et ça vacille, mais je reste dans la danse
Je cède à cette emprise, si c'était une méprise
Si c'était ma chance...
Son corps m'appelle, son âme m'ensorcelle...
Son souffle raisonne et je tourbillonne sur un fil
Au diable l'exil !
J'ai glissé sur le fil d'un amour tortueux,
J'ai soufflé sur l'idylle, et je me suis prise au jeu
J'ai conjuré l'exil et ravivé les feux
D'un coeur amoureux.
Quand l'air me manque et l'coeur dans mes tempes
Tambourine, j'ai peur qu'il sorte de ma poitrine
Son souffle raisonne et je tourbillonne sur un fil
Au diable l'exil !