J'ai aimé la façon dont tes cheveux bouclaient
Quand le temps est humide, quand j'ai les yeux mouillés
Quand l'ambiance est aux pleurs,
Que ne ferais-tu pas ?
J'ai aimé la façon dont tu me racontais,
28 000 histoires drôles
Même si je les connaissais,
Oui, car pour me faire rire,
Que ne ferais-tu pas ?
Quand tu te fais encore plus belle à l'aide d'un crayon noir,
Tu te parfumes même les mains alors qu'on va peut-être pas se voir,
Oui, quand tu veux me plaire,
Que ne ferais-tu pas ?
Et j'aime tous tes baisers
Même quand on n'y croit plus,
Du petit au long baveux
Devant tout le monde dans la rue
Puis quand tu me prends dans tes bras
Alors là, je te dis pas
De la Place de l'Etoile à la Place Clémenceau
Tissons nous une toile, s'envolera-t-elle bientôt ?
Passerons-nous l'hiver, passerons-nous même lundi ?
Même s'il y a plus d'hiver, on vit
Et si je t'offre pas de fleurs
C'est qu'elles seraient vexées
De n'être pas à la hauteur d'un rien de ton parfum
Et si je sais pas trop dire tout ça,
Est-ce que tu m'en veux, parfois ?
Quand tu me demandes si je danse, si je bois un peu ou pas,
Tu me dis tout le mal que tu penses sur ces gens que tu ne connais même pas
Quand tu as peur qu'on se lasse, est-ce que tu crois que ça se voit pas ?
De la Place de l'Etoile à la Place Clémenceau
Tissons nous une toile, s'envolera-t-elle bientôt ?
Passerons-nous l'hiver, passerons-nous même lundi ?
Même s'il y a plus d'hiver, on vit
Il faut dire que la distance,
du Nord au Sud de la France,
Peut même faire peur aux colverts
Les oies sauvages en restent à terre
Et nous qui ne volons même pas,
Comment fait-on, ça je ne sais pas
Voit-on les mêmes couleurs, les mêmes trucs, le même monde,
Grandit-on comme il faut, côte à côte, dos à dos
Est-ce qu'on fait bien d'y croire
C'est peut-être trop beau ?
Quelque part...
Quand le temps est humide, quand j'ai les yeux mouillés
Quand l'ambiance est aux pleurs,
Que ne ferais-tu pas ?
J'ai aimé la façon dont tu me racontais,
28 000 histoires drôles
Même si je les connaissais,
Oui, car pour me faire rire,
Que ne ferais-tu pas ?
Quand tu te fais encore plus belle à l'aide d'un crayon noir,
Tu te parfumes même les mains alors qu'on va peut-être pas se voir,
Oui, quand tu veux me plaire,
Que ne ferais-tu pas ?
Et j'aime tous tes baisers
Même quand on n'y croit plus,
Du petit au long baveux
Devant tout le monde dans la rue
Puis quand tu me prends dans tes bras
Alors là, je te dis pas
De la Place de l'Etoile à la Place Clémenceau
Tissons nous une toile, s'envolera-t-elle bientôt ?
Passerons-nous l'hiver, passerons-nous même lundi ?
Même s'il y a plus d'hiver, on vit
Et si je t'offre pas de fleurs
C'est qu'elles seraient vexées
De n'être pas à la hauteur d'un rien de ton parfum
Et si je sais pas trop dire tout ça,
Est-ce que tu m'en veux, parfois ?
Quand tu me demandes si je danse, si je bois un peu ou pas,
Tu me dis tout le mal que tu penses sur ces gens que tu ne connais même pas
Quand tu as peur qu'on se lasse, est-ce que tu crois que ça se voit pas ?
De la Place de l'Etoile à la Place Clémenceau
Tissons nous une toile, s'envolera-t-elle bientôt ?
Passerons-nous l'hiver, passerons-nous même lundi ?
Même s'il y a plus d'hiver, on vit
Il faut dire que la distance,
du Nord au Sud de la France,
Peut même faire peur aux colverts
Les oies sauvages en restent à terre
Et nous qui ne volons même pas,
Comment fait-on, ça je ne sais pas
Voit-on les mêmes couleurs, les mêmes trucs, le même monde,
Grandit-on comme il faut, côte à côte, dos à dos
Est-ce qu'on fait bien d'y croire
C'est peut-être trop beau ?
Quelque part...