Quand l'horizon s'est éteint sous les brumes du couchant,
Les guerriers d'une nuit avancent sans bruit
Comme l'éclair d'une lance au pays des géants
Ils s'abattent, foudroyant les gardiens de la nuit :
Des cœurs qui s'affolent,
Des pas qui résonnent.
Telle une horde sortie des entrailles de la Terre
Ils se jettent à l'a**aut de la muraille d'acier.
Des ponts à la passerelle tout apparaît désert,
Le temps s'est arrêté dans l'entrelacs d'acier :
L'angoisse qui bourdonne,
Des corps qui frissonnent.
Magie de l'eau,
Ouvre tes voies secrètes qui scintillent
Au ras des flots
Vers des terres nouvelles, invisibles.
Le parfum de la marée enivre les esprits,
Le vent fouette les visages que le froid engourdit.
Sur l'océan le cargo glisse tout doucement,
Dans les brumes irisées d'une mer enchantée :
Des hommes qui s'étonnent,
Des voix qui fredonnent.
Les guerriers d'une nuit avancent sans bruit
Comme l'éclair d'une lance au pays des géants
Ils s'abattent, foudroyant les gardiens de la nuit :
Des cœurs qui s'affolent,
Des pas qui résonnent.
Telle une horde sortie des entrailles de la Terre
Ils se jettent à l'a**aut de la muraille d'acier.
Des ponts à la passerelle tout apparaît désert,
Le temps s'est arrêté dans l'entrelacs d'acier :
L'angoisse qui bourdonne,
Des corps qui frissonnent.
Magie de l'eau,
Ouvre tes voies secrètes qui scintillent
Au ras des flots
Vers des terres nouvelles, invisibles.
Le parfum de la marée enivre les esprits,
Le vent fouette les visages que le froid engourdit.
Sur l'océan le cargo glisse tout doucement,
Dans les brumes irisées d'une mer enchantée :
Des hommes qui s'étonnent,
Des voix qui fredonnent.