(R. Cocciante - L. Plamondon, 1996)
De la Californie où j'ai planté ma vie
Je t'envoie des baisers mouillés à l'eau salée
Je t'envoie des couchers de soleil orangés
Une photo de moi où j'ai un peu changé
Elle est ressorti tout droit d'une bande dessinée
Mais sous les images, sous les paysages
Sous ce personnage de cinéma
Mais sous ce décor, au fond de mon corps
Moi je n'aime encore que toi
Rouler sous les palmiers seule en décapotable
Pouvoir marcher nu-pieds le matin sur le sable
En haut des tours de verre toucher à l'an 2000
Et trouver le désert aux portes de la ville
Ça fait toujours rêver Saint-Germain des prés
Mais sous les images, sous les paysages
Sous ce personnage de cinéma
Mais sous ce décor, au fond de mon corps
Moi je n'aime encore que toi
Partir pour revenir n'est vraiment pas partir
Tu n'as qu'à dire un mot, je reviens tout de go
Enfiler mes hivers sous ton vieux pull-over
Et réchauffer mon dos ma peau contre ta peau
En t'écoutant tout haut me lire du Le Clézio
Car sous les images, sous les paysages
Sous ce personnage de cinéma
Mais sous ce décor, au fond de mon corps
Moi je n'aime encore que toi
De la Californie où j'ai planté ma vie
Je t'envoie des baisers mouillés à l'eau salée
Je t'envoie des couchers de soleil orangés
Une photo de moi où j'ai un peu changé
Elle est ressorti tout droit d'une bande dessinée
Mais sous les images, sous les paysages
Sous ce personnage de cinéma
Mais sous ce décor, au fond de mon corps
Moi je n'aime encore que toi
Rouler sous les palmiers seule en décapotable
Pouvoir marcher nu-pieds le matin sur le sable
En haut des tours de verre toucher à l'an 2000
Et trouver le désert aux portes de la ville
Ça fait toujours rêver Saint-Germain des prés
Mais sous les images, sous les paysages
Sous ce personnage de cinéma
Mais sous ce décor, au fond de mon corps
Moi je n'aime encore que toi
Partir pour revenir n'est vraiment pas partir
Tu n'as qu'à dire un mot, je reviens tout de go
Enfiler mes hivers sous ton vieux pull-over
Et réchauffer mon dos ma peau contre ta peau
En t'écoutant tout haut me lire du Le Clézio
Car sous les images, sous les paysages
Sous ce personnage de cinéma
Mais sous ce décor, au fond de mon corps
Moi je n'aime encore que toi