L'enfer remonte, la boue qui retient nos pas,
Embrasse les morts, trop de fois.
Et si la honte, n'est pas mourir au combat
Mais quand nos corps deviennent trop las.
Pourquoi attendre l'ennemi est là
Guettant chacun de nos faux pas.
La terre se fige, et hante encore
Nos nuits sans fin, sculptant la mort jusqu'à l'aurore.
Cerclés de boue, nos frères s'endorment,
Suicidez-vous, choisissez donc une moindre mort.
La terre se fige, et hante encore
Nos nuits sans fin, sculptant la mort jusqu'à l'aurore.
Embrasse les morts, trop de fois.
Et si la honte, n'est pas mourir au combat
Mais quand nos corps deviennent trop las.
Pourquoi attendre l'ennemi est là
Guettant chacun de nos faux pas.
La terre se fige, et hante encore
Nos nuits sans fin, sculptant la mort jusqu'à l'aurore.
Cerclés de boue, nos frères s'endorment,
Suicidez-vous, choisissez donc une moindre mort.
La terre se fige, et hante encore
Nos nuits sans fin, sculptant la mort jusqu'à l'aurore.