Alors mec...
Je sais pas, t'as pas le sourire..
Qu'est-ce qu'il t'arrive ?
Elle est partie...
Il pleut sur ton coeur, ta princesse est partie
Tu rejoins l'envers du décor et les rencontres sur Azerty
L'amour c'est douloureux, Brel nous avait averti
Toi tu voulais juste être heureux et peut-être même avoir des p't***
Tu te croyais étanche à ces sentiments étranges
Maintenant ton moral flanche et l'insolence du soleil te dérange
Allez viens... on fête ça au champagne pour que les larmes t'épargnent
Bulles et résine pour lutter contre l'étranglement du spleen
Tu voulais vivre d'amour, de pates fraîches, kiffer la vie, bref
Prendre ton RMI, le claquer entre fleuriste et joaillerie
Prévu à des conneries, un bonheur qui jamais ne tarit
Et jusqu'à présent que des garces minimisant leur crari
Je veux pas d'une femme qui paie de la sappe à son yorkshire
Ni une qui s'illustre dans la tise, dit "je m'en bas les c*******" et jure sur sa mère
Merde... où sont les soeurs ? pas celles qui friment en faisant dépasser leur string
Et kiffent les coïts sous cocaïne...
Y'a celles qui ont besoin d'avoir la cote avec tout le monde pour rester zen
Jouant de leur enveloppe charnelle car intérieurement très laides
Pas besoin d'une michtonneuse qui la joue bourgeois bohême
Qui voudrait changer l'monde alors qu'elle est en est un des problèmes
Certaines causent humanitaire mais vouent leur vie à faire des thunes
Et ne s'intéressent à ton art que le jour où tu fais un tube
Beaucoup d'actrices... gentillesse en façade
Camouflant une égoïste au coeur froid et malade
On cherche un interlude à cette solitude affective
Entre les cuisses d'une demie prude souvent grave à la dérive
L'écorce est rude... peu de gens se livrent
Flippant d'revivre un épilogue où la douleur est vive
Souvent je fais ce rêve dans lequel je filerais l'parfait amour
Où la fidélité ne serait même plus un effort
Elle dit qu'elle m'adore, et m'appelle mi amor
Mais ce rêve devient cauchemar quand je l'aperçois aux hots d'or
Respect... à celles qui se respectent
Et ne finissent pas direct à quatre pattes le premier soir d'notre rencontre...
Je vais rester honnête en me disant que je suis rarement contre
Mais pour la dolce vita, c'est pas sur moi qu'il faut que tu comptes
Je veux pas qu'mes enfants aient une catin pour mère
Car je tomberais dans l'alcool tant le tableau de ma vie serait amer
Je veux pas que ma marmaille soit des gosses du divorce
Et qu'il découvrent trop tôt que l'amour est rare et s'montre féroce
Mesdemoiselles et mesdames, ne vous offusquez pas
Vous mettre toutes dans l'même panier, je n'm'y risquerai pas
Il reste des femmes douces, honnêtes et intelligentes
Mais nombreuses sont les garces qui dévalorisent votre gente
Trop de filles futiles... et superficielles
Aux bras d'ces planqués qui sont blindés d'oseille
Certaines aiment nos vies de bohême et les poèmes qui en découlent
Mais quand t'es sur la paille, leurs sentiments s'écroulent
Du jour au lendemain tu peux regretter hier
Et tchatcher à l'imparfait quand t'évoques le bonheur
Cupidon est aveugle mais une de ses flèches t'a touchée
Dans la matrice y'a eu un bug ta lucidité est partie se coucher...
Retour aux années d'hier tant le désarroi est grand
La rage comme partenaire, tu t'apprêtes à rentrer dans les rangs
De ceux qui pensent que... l'amour n'existe plus
Et qu'la démographie se limite à une gigantesque histoire de c**...
Ma plume t**ube et zigzague évitant les auréoles salines
Et quand le love se dérobe, pas facile de rester digne
Mon coeur p***e le sang la musique en guise de pansement
Augmente le volume s'te plait ça atténue l'pincement
03h35 du mat un fond de 55 qui m'attend
Un bout de s*** à 50 sacs et dans mes draps pas un ronronnement
Il pleut sur mon coeur...
Ma princesse est partie...
Je sais pas, t'as pas le sourire..
Qu'est-ce qu'il t'arrive ?
Elle est partie...
Il pleut sur ton coeur, ta princesse est partie
Tu rejoins l'envers du décor et les rencontres sur Azerty
L'amour c'est douloureux, Brel nous avait averti
Toi tu voulais juste être heureux et peut-être même avoir des p't***
Tu te croyais étanche à ces sentiments étranges
Maintenant ton moral flanche et l'insolence du soleil te dérange
Allez viens... on fête ça au champagne pour que les larmes t'épargnent
Bulles et résine pour lutter contre l'étranglement du spleen
Tu voulais vivre d'amour, de pates fraîches, kiffer la vie, bref
Prendre ton RMI, le claquer entre fleuriste et joaillerie
Prévu à des conneries, un bonheur qui jamais ne tarit
Et jusqu'à présent que des garces minimisant leur crari
Je veux pas d'une femme qui paie de la sappe à son yorkshire
Ni une qui s'illustre dans la tise, dit "je m'en bas les c*******" et jure sur sa mère
Merde... où sont les soeurs ? pas celles qui friment en faisant dépasser leur string
Et kiffent les coïts sous cocaïne...
Y'a celles qui ont besoin d'avoir la cote avec tout le monde pour rester zen
Jouant de leur enveloppe charnelle car intérieurement très laides
Pas besoin d'une michtonneuse qui la joue bourgeois bohême
Qui voudrait changer l'monde alors qu'elle est en est un des problèmes
Certaines causent humanitaire mais vouent leur vie à faire des thunes
Et ne s'intéressent à ton art que le jour où tu fais un tube
Beaucoup d'actrices... gentillesse en façade
Camouflant une égoïste au coeur froid et malade
On cherche un interlude à cette solitude affective
Entre les cuisses d'une demie prude souvent grave à la dérive
L'écorce est rude... peu de gens se livrent
Flippant d'revivre un épilogue où la douleur est vive
Souvent je fais ce rêve dans lequel je filerais l'parfait amour
Où la fidélité ne serait même plus un effort
Elle dit qu'elle m'adore, et m'appelle mi amor
Mais ce rêve devient cauchemar quand je l'aperçois aux hots d'or
Respect... à celles qui se respectent
Et ne finissent pas direct à quatre pattes le premier soir d'notre rencontre...
Je vais rester honnête en me disant que je suis rarement contre
Mais pour la dolce vita, c'est pas sur moi qu'il faut que tu comptes
Je veux pas qu'mes enfants aient une catin pour mère
Car je tomberais dans l'alcool tant le tableau de ma vie serait amer
Je veux pas que ma marmaille soit des gosses du divorce
Et qu'il découvrent trop tôt que l'amour est rare et s'montre féroce
Mesdemoiselles et mesdames, ne vous offusquez pas
Vous mettre toutes dans l'même panier, je n'm'y risquerai pas
Il reste des femmes douces, honnêtes et intelligentes
Mais nombreuses sont les garces qui dévalorisent votre gente
Trop de filles futiles... et superficielles
Aux bras d'ces planqués qui sont blindés d'oseille
Certaines aiment nos vies de bohême et les poèmes qui en découlent
Mais quand t'es sur la paille, leurs sentiments s'écroulent
Du jour au lendemain tu peux regretter hier
Et tchatcher à l'imparfait quand t'évoques le bonheur
Cupidon est aveugle mais une de ses flèches t'a touchée
Dans la matrice y'a eu un bug ta lucidité est partie se coucher...
Retour aux années d'hier tant le désarroi est grand
La rage comme partenaire, tu t'apprêtes à rentrer dans les rangs
De ceux qui pensent que... l'amour n'existe plus
Et qu'la démographie se limite à une gigantesque histoire de c**...
Ma plume t**ube et zigzague évitant les auréoles salines
Et quand le love se dérobe, pas facile de rester digne
Mon coeur p***e le sang la musique en guise de pansement
Augmente le volume s'te plait ça atténue l'pincement
03h35 du mat un fond de 55 qui m'attend
Un bout de s*** à 50 sacs et dans mes draps pas un ronronnement
Il pleut sur mon coeur...
Ma princesse est partie...