J'ai dans la tête...
Une image / un mirage
La misère du monde comme paysage
La distance et l'abscence
Des hommes qui marchent dans l'indifférence
Amère lucidité...
Suite à mon cri seul le silence
Même l'écho n'a aucun sens
Au fil des jours...
La conscience / d'exister
La conscience de toute l'absurdité
De la vie et des gens
Menés par le pouvoir et l'argent
Sisyphe est condamné
A rouler son rocher
Sa conscience représente sa liberté
Le jour se réveille / un nuage funeste chasse le soleil
Cachant ses merveiller / une blessure marque la planète qui s'éveille
Au fond d'une bouteille / un liquide rappelle la mort qui sommeille
En état de veille / la nature ne sera plus jamais pareille...
Sisyphe est condamné
À rouler son rocher
Sa conscience représente sa liberté
Une étrange vision / un enfant est laissé à l'abandon
Le rêve comme évasion / la faim n'est plus qu'une lointaine sensation
Dans ses yeux une passion / un instinct qui dépasse la raison
Au gré des saisons / le temps viendra détruire ses illusions...
Les conséquences de cette vision
Liberté, révolte et passion
Mènent une lutte à ma raison
Le non-sens de l'existence
Une blessure qui éveille ma conscience
C'est l'absurde qui prend son sens
Les hommes sont parfois immondes
En moi-même les questions abondent
Face au silence du monde
Prisionnier d'un mauvais sort
Sisyphe en vain attend la mort
Mais le rocher roule encore
Une image / un mirage
La misère du monde comme paysage
La distance et l'abscence
Des hommes qui marchent dans l'indifférence
Amère lucidité...
Suite à mon cri seul le silence
Même l'écho n'a aucun sens
Au fil des jours...
La conscience / d'exister
La conscience de toute l'absurdité
De la vie et des gens
Menés par le pouvoir et l'argent
Sisyphe est condamné
A rouler son rocher
Sa conscience représente sa liberté
Le jour se réveille / un nuage funeste chasse le soleil
Cachant ses merveiller / une blessure marque la planète qui s'éveille
Au fond d'une bouteille / un liquide rappelle la mort qui sommeille
En état de veille / la nature ne sera plus jamais pareille...
Sisyphe est condamné
À rouler son rocher
Sa conscience représente sa liberté
Une étrange vision / un enfant est laissé à l'abandon
Le rêve comme évasion / la faim n'est plus qu'une lointaine sensation
Dans ses yeux une passion / un instinct qui dépasse la raison
Au gré des saisons / le temps viendra détruire ses illusions...
Les conséquences de cette vision
Liberté, révolte et passion
Mènent une lutte à ma raison
Le non-sens de l'existence
Une blessure qui éveille ma conscience
C'est l'absurde qui prend son sens
Les hommes sont parfois immondes
En moi-même les questions abondent
Face au silence du monde
Prisionnier d'un mauvais sort
Sisyphe en vain attend la mort
Mais le rocher roule encore