Il a le coeur fendu, a**is là-bas dans la nuit
Seul entouré par l'odeur de la mort qui lui sourit
Il a la haine dans ses veines, rempli de mépris
Tout son corps, son esprit, saignent de ne pas connaître l'oubli
Il a son âme qui réclame que des pleures et des larmes
Et des femmes qui avant de mourir le supplient
Il a le sang bouillonnant et du feu dans ses yeux
Cette horreur, cette peur qui le définit
La bête est là, la bête avance, la bête sait que l'amour ne fait pas partie de son récit
La bête sait bien qu'il n'est que de vérité
Près de ces écrits anciens que les hommes ont un jour gravé
Là sous ces pierres, ces oeufs venus de l 'enfer
Qui ne sont pour lui que du malheur envoûté de magie
Ces mégalythes, ces cercles si magnifiques
Couvent sur ces terres comme s'ils attendaient le moment critique
(REFRAIN)
Que viennent à moi les plaintes des d***és
Que vienne à moi le souffle du dragon des décédés
Si je vis toute une éternité
Je ne sais pas, non, je ne sais comment me faire aimé
Dans le brouillard, là-bas plongé dans le noir
Au pied d'un vieux chêne il attend à l'affût du moindre bruit
Les chants, les cris, les plaintes de la fôret
Toutes les prophéties portées par les vents sous des temps mauvais
Et puis le froid qui fouette son épiderme
Esclave ici-bas il ne connait pas la chaleur d'un lit
Il est si seul mais maître de son domaine
Et rien ni personne ici ne pourra lui briser ses chaînes
L'animal pleure, l'animal hurle
L'animal se contente de se cacher sous des monticules
L'esprit maudit, l'esprit fort et maléfique
En dessous des cris, des paroles des incantations druidiques
(REFRAIN)
Si le bonheur n'a pu s'étaler ici
C'est que le prêcheur est devenu son meilleur ennemi
Il saigne encore, mordu par sa vérité
Prisonnier d'un corps dont il n'a jamais voulu habiter
Les coups de fouet, les croix brûlées sur son dos
Tous ces souvenirs, ces plaies nous racontent ce qu'il a subit
Des villageois qui ont voulu le tuer
Ils n'ont fait que des pas de géants vers la mort sans se douter
Mais cet homme sait, cet homme souvent se raconte
Cet homme n'oublie pas ce qu'il était avant d'être le fruit
Cet être aimé, tué, violé par la honte
Sous la canopée percée, la lune a trouvé son petit. (X2)
(REFRAIN X2)
Seul entouré par l'odeur de la mort qui lui sourit
Il a la haine dans ses veines, rempli de mépris
Tout son corps, son esprit, saignent de ne pas connaître l'oubli
Il a son âme qui réclame que des pleures et des larmes
Et des femmes qui avant de mourir le supplient
Il a le sang bouillonnant et du feu dans ses yeux
Cette horreur, cette peur qui le définit
La bête est là, la bête avance, la bête sait que l'amour ne fait pas partie de son récit
La bête sait bien qu'il n'est que de vérité
Près de ces écrits anciens que les hommes ont un jour gravé
Là sous ces pierres, ces oeufs venus de l 'enfer
Qui ne sont pour lui que du malheur envoûté de magie
Ces mégalythes, ces cercles si magnifiques
Couvent sur ces terres comme s'ils attendaient le moment critique
(REFRAIN)
Que viennent à moi les plaintes des d***és
Que vienne à moi le souffle du dragon des décédés
Si je vis toute une éternité
Je ne sais pas, non, je ne sais comment me faire aimé
Dans le brouillard, là-bas plongé dans le noir
Au pied d'un vieux chêne il attend à l'affût du moindre bruit
Les chants, les cris, les plaintes de la fôret
Toutes les prophéties portées par les vents sous des temps mauvais
Et puis le froid qui fouette son épiderme
Esclave ici-bas il ne connait pas la chaleur d'un lit
Il est si seul mais maître de son domaine
Et rien ni personne ici ne pourra lui briser ses chaînes
L'animal pleure, l'animal hurle
L'animal se contente de se cacher sous des monticules
L'esprit maudit, l'esprit fort et maléfique
En dessous des cris, des paroles des incantations druidiques
(REFRAIN)
Si le bonheur n'a pu s'étaler ici
C'est que le prêcheur est devenu son meilleur ennemi
Il saigne encore, mordu par sa vérité
Prisonnier d'un corps dont il n'a jamais voulu habiter
Les coups de fouet, les croix brûlées sur son dos
Tous ces souvenirs, ces plaies nous racontent ce qu'il a subit
Des villageois qui ont voulu le tuer
Ils n'ont fait que des pas de géants vers la mort sans se douter
Mais cet homme sait, cet homme souvent se raconte
Cet homme n'oublie pas ce qu'il était avant d'être le fruit
Cet être aimé, tué, violé par la honte
Sous la canopée percée, la lune a trouvé son petit. (X2)
(REFRAIN X2)