Ils passent sans le voir, ces milliers de visages,
Qui parle de partage sans vraiment trop y croire,
Ce troupeau de moutons qui donne sans compter
Des regards de pitié, des mots de compassion
Il s'en f***, il regarde s'en aller les péniches
Avec son vieux bâtard, son ego et sa niche
Plus rien de le retient, il rêve de partir
Et le soir il s'enivre avec du mauvais vin,
Alors dans son ivresse il refait ses voyages
Qu'il a fait sans bagages, entouré de maîtresses
Il s'en f***, il regarde s'en aller les péniches
Avec son vieux bâtard, son ego et sa niche
Sur son bout de trottoir, il rêve de partir
En espérant un soir ne jamais revenir
Il s'en f***, il regarde s'en aller les péniches
Avec son vieux bâtard, son ego et sa niche
Qui parle de partage sans vraiment trop y croire,
Ce troupeau de moutons qui donne sans compter
Des regards de pitié, des mots de compassion
Il s'en f***, il regarde s'en aller les péniches
Avec son vieux bâtard, son ego et sa niche
Plus rien de le retient, il rêve de partir
Et le soir il s'enivre avec du mauvais vin,
Alors dans son ivresse il refait ses voyages
Qu'il a fait sans bagages, entouré de maîtresses
Il s'en f***, il regarde s'en aller les péniches
Avec son vieux bâtard, son ego et sa niche
Sur son bout de trottoir, il rêve de partir
En espérant un soir ne jamais revenir
Il s'en f***, il regarde s'en aller les péniches
Avec son vieux bâtard, son ego et sa niche