Mon premier ami n'est plus qu'un point sur l'horizon.
Mon premier amour n'a déjà plus de nom
Et quand je regarde la photo de ce petit garçon,
Je reconnais à peine mon visage.
Ma première voiture, j'en étais fou, j'en étais fier.
Ce n'est désormais qu'un pauvre état de fer.
Ma première chanson qui devait faire chanter toute la terre,
Je l'ai laissée sur de lointains rivages.
C'est de l'eau, c'est du vent
Que l'on boit et puis que l'on oublie.
Sable fin et mouvant
Et des pas se perdent dans la nuit
Merveilleux soleil qui nous redonne chaque jour
L'illusion de croire qu'on durera toujours.
Merveilleuse fille d'aujourd'hui toi qui est mon amour
Lorsque tu es sage comme une image.
Ces de l'eau, c'est du vent
Que je tiens au creux de mes deux mains.
Sable fin et mouvant qui recouvre les pierres du chemin.
Tant que je vivrais, je boirais l'eau et le grand vent.
À pleines gorgées dans le matin levant
Sans jamais rien regretté d'hier en me disant que demain
J'en aurais encore bien davantage.
C'est de l'eau, c'est du vent
Que l'on boit et puis que l'on oublie.
Sable fin et mouvant
Et des pas se perdent dans la nuit
C'est de l'eau, c'est du vent
Que l'on boit et puis que l'on oublie.
Sable fin et mouvant
Et des pas se perdent dans la nuit
C'est de l'eau, c'est du vent
Que l'on boit et puis que l'on oublie.
Sable fin et mouvant
Et des pas se perdent dans la nuit
Mon premier amour n'a déjà plus de nom
Et quand je regarde la photo de ce petit garçon,
Je reconnais à peine mon visage.
Ma première voiture, j'en étais fou, j'en étais fier.
Ce n'est désormais qu'un pauvre état de fer.
Ma première chanson qui devait faire chanter toute la terre,
Je l'ai laissée sur de lointains rivages.
C'est de l'eau, c'est du vent
Que l'on boit et puis que l'on oublie.
Sable fin et mouvant
Et des pas se perdent dans la nuit
Merveilleux soleil qui nous redonne chaque jour
L'illusion de croire qu'on durera toujours.
Merveilleuse fille d'aujourd'hui toi qui est mon amour
Lorsque tu es sage comme une image.
Ces de l'eau, c'est du vent
Que je tiens au creux de mes deux mains.
Sable fin et mouvant qui recouvre les pierres du chemin.
Tant que je vivrais, je boirais l'eau et le grand vent.
À pleines gorgées dans le matin levant
Sans jamais rien regretté d'hier en me disant que demain
J'en aurais encore bien davantage.
C'est de l'eau, c'est du vent
Que l'on boit et puis que l'on oublie.
Sable fin et mouvant
Et des pas se perdent dans la nuit
C'est de l'eau, c'est du vent
Que l'on boit et puis que l'on oublie.
Sable fin et mouvant
Et des pas se perdent dans la nuit
C'est de l'eau, c'est du vent
Que l'on boit et puis que l'on oublie.
Sable fin et mouvant
Et des pas se perdent dans la nuit