Te souviens-tu "quand il s'élance" ?
On aurait bien juré qu'il n'avait aucune chance
On levait les bras aux nues
Bordel! on parlait d'excellence
Et on l'a souvent rejoué
Le duel de Pelé contre Gordon Banks
Pardon je sais tout ça est loin
Mais tu vois j'y repense
Il n'est jamais très long
Le chemin qui ramène à l'enfance
Maintenant tu bois tout ton soûl
Tourbillons et valses violentes
Et tu t'envoies par le fond
A en quémander ta pitance
Et lentement tu coules
A parler à ton ombre
A jurer pas le ciel
Que la vie est la plus belle
De toutes les p*****s
Pour un peu qu'on allonge
Combien de temps cela fait Paulo que je ne t'ai revu ?
Merde je n'en sais rien
Combien de temps que sous le manteau
Tu as vendu tes rêves avec un peu des miens ?
Non je n'ai pas les mots
Tout ce qui me revient
C'est le cri des préaux
On les voyait en nous anglais et brésiliens
Mexico. Jairzinho
Une foule et des reporters en trance
Jairzinho ! Jairzinho
Qui centre pour Pelé !
Et tout à coup l'immense...
La parade de Gordon Banks
Te souviens-tu rue Jean Domat
Quand on avait pour but un mur et puis la gloire ?
On n'a jamais vraiment su en fait qui était cet homme-là
Mais Dieu sait s'il en a vu rejouées
Des coupes du monde sur son trottoir
Maintenant tu bois tout ton plein
Tu les regardes
Ta langue pend dans ton vin
Tu souris dans ta barbe
Tu les imagines heureux
Ces deux cons au fond de la salle
Et que j'te tripote les cheveux !
Tu voudrais renverser la table
Papa fumera près du feu et maman fera du gâteau
Une tripotée de morveux qui sera leur fierté bientôt
Tu aimerais leur dire que ça finira
Tu aimerais leur dire mais faudrait que tu t'lèves
Tu as beau les maudire, p***** dans les draps
Mais déjà tu transpires à t'en lécher les lèvres
Non je n'ai pas les mots
Ce dont je me souviens
C'est Platini, Zico qui rentraient aux vestiaires
Quand ta mère disait fin
Mexico. Jairzinho
Une foule qui nous ressortait du ventre
Jairzinho ! Jairzinho
Qui centre pour Pelé...
Allez Paulo on rentre !
On parlait d'excellence
On rêvait d'excellence.
Allez Paulo on rentre !
La parade de Gordon Banks
On aurait bien juré qu'il n'avait aucune chance
On levait les bras aux nues
Bordel! on parlait d'excellence
Et on l'a souvent rejoué
Le duel de Pelé contre Gordon Banks
Pardon je sais tout ça est loin
Mais tu vois j'y repense
Il n'est jamais très long
Le chemin qui ramène à l'enfance
Maintenant tu bois tout ton soûl
Tourbillons et valses violentes
Et tu t'envoies par le fond
A en quémander ta pitance
Et lentement tu coules
A parler à ton ombre
A jurer pas le ciel
Que la vie est la plus belle
De toutes les p*****s
Pour un peu qu'on allonge
Combien de temps cela fait Paulo que je ne t'ai revu ?
Merde je n'en sais rien
Combien de temps que sous le manteau
Tu as vendu tes rêves avec un peu des miens ?
Non je n'ai pas les mots
Tout ce qui me revient
C'est le cri des préaux
On les voyait en nous anglais et brésiliens
Mexico. Jairzinho
Une foule et des reporters en trance
Jairzinho ! Jairzinho
Qui centre pour Pelé !
Et tout à coup l'immense...
La parade de Gordon Banks
Te souviens-tu rue Jean Domat
Quand on avait pour but un mur et puis la gloire ?
On n'a jamais vraiment su en fait qui était cet homme-là
Mais Dieu sait s'il en a vu rejouées
Des coupes du monde sur son trottoir
Maintenant tu bois tout ton plein
Tu les regardes
Ta langue pend dans ton vin
Tu souris dans ta barbe
Tu les imagines heureux
Ces deux cons au fond de la salle
Et que j'te tripote les cheveux !
Tu voudrais renverser la table
Papa fumera près du feu et maman fera du gâteau
Une tripotée de morveux qui sera leur fierté bientôt
Tu aimerais leur dire que ça finira
Tu aimerais leur dire mais faudrait que tu t'lèves
Tu as beau les maudire, p***** dans les draps
Mais déjà tu transpires à t'en lécher les lèvres
Non je n'ai pas les mots
Ce dont je me souviens
C'est Platini, Zico qui rentraient aux vestiaires
Quand ta mère disait fin
Mexico. Jairzinho
Une foule qui nous ressortait du ventre
Jairzinho ! Jairzinho
Qui centre pour Pelé...
Allez Paulo on rentre !
On parlait d'excellence
On rêvait d'excellence.
Allez Paulo on rentre !
La parade de Gordon Banks