Tu t'apellerais Tangerine
Et tu serais objet volant
Dans un cirque où tu brillerais
Vêtue d'un costume éclatant
Tu t'apellerais Cocaïne
Et je serais le guitariste
Et nous visiterions le monde
À regarder à l'horizon
Les lumières, de chaque nouvelle ville
Les lumières, qui cessent à l'Océan
Ah si jamais rien ne pouvait
Cesser ce film où il y avait
Cette sonate de Beethoven
Où tellement d'adolescents,
Moururent en se coupant les veines
Moururent en se coupant les veines
Le temps s'arrête Tangerine,
Reste avec moi, la lune est tendre
Est-elle étrange sa lumière?
On dirait la poudre de verre
Je t'appellerai Cocaïne
Parce que je ne peux m'arrêter
Un homme est mort dans son lit
Dans ses poches un portrait flétri
De sa fille et un papier gris
Qui lui disait, je t'aime en vain
Qui lui disait, je t'aime en vain
Qui lui disait, je t'aime en vain
Ah si jamais rien ne pouvait
Cesser ce film où il y avait
Cette sonate de Beethoven
Où tellement d'adolescents,
Connurent une mort si certaine
Connurent une fin si soudaine
Connurent une mort si certaine
Et tu serais objet volant
Dans un cirque où tu brillerais
Vêtue d'un costume éclatant
Tu t'apellerais Cocaïne
Et je serais le guitariste
Et nous visiterions le monde
À regarder à l'horizon
Les lumières, de chaque nouvelle ville
Les lumières, qui cessent à l'Océan
Ah si jamais rien ne pouvait
Cesser ce film où il y avait
Cette sonate de Beethoven
Où tellement d'adolescents,
Moururent en se coupant les veines
Moururent en se coupant les veines
Le temps s'arrête Tangerine,
Reste avec moi, la lune est tendre
Est-elle étrange sa lumière?
On dirait la poudre de verre
Je t'appellerai Cocaïne
Parce que je ne peux m'arrêter
Un homme est mort dans son lit
Dans ses poches un portrait flétri
De sa fille et un papier gris
Qui lui disait, je t'aime en vain
Qui lui disait, je t'aime en vain
Qui lui disait, je t'aime en vain
Ah si jamais rien ne pouvait
Cesser ce film où il y avait
Cette sonate de Beethoven
Où tellement d'adolescents,
Connurent une mort si certaine
Connurent une fin si soudaine
Connurent une mort si certaine