L'ardeur s'émousse,
L'atmosphère se tend,
La tension monte,
Le vent gémit.
La chair frissonne,
Les bras se dérobent,
Le broullard s'épaissit,
Le bruit court.
Prise de bec,
Coups de foudres et de sangs,
Coups fourrés coups en douce,
Prises de têtes, coups de becs et de plumes,
Trempés dans l'encre noire,
Du désir.
Le plancher craque,
La pluie tambourine,
La porte s'ouvre,
Le pou s'affole,
La question se pose,
Le regard se fige,
Le regard se trouble et se voile.
Du coup, sans tête à squatter les égouts,
Engorgé de mes idées floues,
Du coup, je pète,
Les plombs dans ma téléte,
Sans amulette je suis fou,
Un cou sans tête,
C'est tout ce que t'aura de moi,
Si j'appuis le doigt sur la gachette.
A bout portant,
Couché sur la moquette,
Le doigt sur la détente,
J'attends.
Le front se plisse,
La gène s'installe,
Le gravier crisse,
Le jour se lève,
Les larmes coulent,
Les lèvres se posent,
La raison s'égare, le lit gémit.
Prise de tête,
Trempée en l'encre noire,
Du regard fasciné sur les jeux de la passion,
Et les jeux du mirroir.
Prise de bec,
Coup de foudre et coup de sang,
Trempés en l'encre rouge,
Des plaisirs infligés par le fouet ou l'épée,
Du désir.
L'ardeur s'émousse,
L'atmosphère se tend,
La tension se fixe,
Le feu coule,
Le filet se casse,
La flamme se consume,
Le front se plisse,
La folie guètte.
Prise de tête,
Coup de foudre et coup de sang,
Trempés en l'encre rouge,
Des plaisirs infligés par le fouet ou l'épée,
Du désir.
Du coup, sans tête, à se prendre les pattes,
Dans les nattes et les couettes, "nana"
Et moi,j'me pète,
Cigares après cigarettes,
Du poumons, du coeur et la voix.
Un cou sans tête,
Voilà ce que je vois quand je pète,
La boule à cause de toi.
Coup, sonnette j'appuis sur la gachette,
T'entendra plus jamais parler de moi.
L'atmosphère se tend,
La tension monte,
Le vent gémit.
La chair frissonne,
Les bras se dérobent,
Le broullard s'épaissit,
Le bruit court.
Prise de bec,
Coups de foudres et de sangs,
Coups fourrés coups en douce,
Prises de têtes, coups de becs et de plumes,
Trempés dans l'encre noire,
Du désir.
Le plancher craque,
La pluie tambourine,
La porte s'ouvre,
Le pou s'affole,
La question se pose,
Le regard se fige,
Le regard se trouble et se voile.
Du coup, sans tête à squatter les égouts,
Engorgé de mes idées floues,
Du coup, je pète,
Les plombs dans ma téléte,
Sans amulette je suis fou,
Un cou sans tête,
C'est tout ce que t'aura de moi,
Si j'appuis le doigt sur la gachette.
A bout portant,
Couché sur la moquette,
Le doigt sur la détente,
J'attends.
Le front se plisse,
La gène s'installe,
Le gravier crisse,
Le jour se lève,
Les larmes coulent,
Les lèvres se posent,
La raison s'égare, le lit gémit.
Prise de tête,
Trempée en l'encre noire,
Du regard fasciné sur les jeux de la passion,
Et les jeux du mirroir.
Prise de bec,
Coup de foudre et coup de sang,
Trempés en l'encre rouge,
Des plaisirs infligés par le fouet ou l'épée,
Du désir.
L'ardeur s'émousse,
L'atmosphère se tend,
La tension se fixe,
Le feu coule,
Le filet se casse,
La flamme se consume,
Le front se plisse,
La folie guètte.
Prise de tête,
Coup de foudre et coup de sang,
Trempés en l'encre rouge,
Des plaisirs infligés par le fouet ou l'épée,
Du désir.
Du coup, sans tête, à se prendre les pattes,
Dans les nattes et les couettes, "nana"
Et moi,j'me pète,
Cigares après cigarettes,
Du poumons, du coeur et la voix.
Un cou sans tête,
Voilà ce que je vois quand je pète,
La boule à cause de toi.
Coup, sonnette j'appuis sur la gachette,
T'entendra plus jamais parler de moi.