(Philippe Amar/JCH/Frédéric Lerner)
Tous nos cris d'amour qui s'effacent, je n'écris plus que des silences
La page de notre vie se froisse, les mots sont tous à contre-sens
Je l'oublie, même son ombre ne réveille plus mes envies
Je l'oublie, elle n'est qu'un nuage blanc après la pluie
Je l'oublie... Je l'oublie
Lorsqu'elle est nue devant sa glace, je ne ressens que de l'absence
Le vide infini de l'espace comme un tambour sans résonance
Je l'oublie, même son ombre ne réveille plus mes envies
Je l'oublie, elle n'est qu'un nuage blanc après la pluie
Je l'oublie... Je l'oublie
Elle était pourtant celle que je prenais dans mes bras...
Pardon de parler d'elle, pardon d'en parler comme ça...
Je l'oublie, même son ombre ne réveille plus mes envies
Je l'oublie, elle n'est qu'un nuage blanc après la pluie
Je l'oublie... Je l'oublie.
Tous nos cris d'amour qui s'effacent, je n'écris plus que des silences
La page de notre vie se froisse, les mots sont tous à contre-sens
Je l'oublie, même son ombre ne réveille plus mes envies
Je l'oublie, elle n'est qu'un nuage blanc après la pluie
Je l'oublie... Je l'oublie
Lorsqu'elle est nue devant sa glace, je ne ressens que de l'absence
Le vide infini de l'espace comme un tambour sans résonance
Je l'oublie, même son ombre ne réveille plus mes envies
Je l'oublie, elle n'est qu'un nuage blanc après la pluie
Je l'oublie... Je l'oublie
Elle était pourtant celle que je prenais dans mes bras...
Pardon de parler d'elle, pardon d'en parler comme ça...
Je l'oublie, même son ombre ne réveille plus mes envies
Je l'oublie, elle n'est qu'un nuage blanc après la pluie
Je l'oublie... Je l'oublie.