Refrain
Vois-tu le rouge, le bleu, lequel te rend heureux
Veux-tu le ciel, le feu, la vue n'est plus mon voeu
Vois-tu le rouge, le bleu, lequel te rend heureux
Veux-tu le ciel, le feu
Le noir me met à l'abri
Hé ! Yo ! L'ami dis moi si mon quartier est-il toujours gris
Voilà déjà 10 ans que je suis plongé dans la nuit
L'image devient-elle osée, couleurs mal dosées
Le rouge en flaque sur les trottoirs est-il toujours étalé
Elle baisse baisse dans ma mémoire comme du sucre dans l'eau
Ai-je perdu quelque chose dites moi si ce monde est beau
L'éclat d'une explosion, du noir dans ma vision
Une cascade d'émotions ensuite vient la Chhhhh
Un arc-en-ciel pour les 7 couleurs du ciel
Le rouge, le vert, le bleu pour les trois couleurs universelles
Je ne vois pas mais rêve d'une âme aussi blanche que le sel
Dans le noir je me sens bien, protégé par l'Éternel
Garde tes pièces, ne me plains pas, ce que je vois
Tu l'vois pas, je préfère être comme ça, à chacun son combat
Je sors le jour pour ne plus les voir la nuit
Ma canne blanche noircit sur les trottoirs de Paris
Refrain
Une scène perpétuelle sous un ciel large
Je me rappelle pêle-mêle des teintes essentielles
Pages d'images d'un monde beau sans nuages
Sans âme en cage, toutes couleurs de peaux
En paix sous un ciel bleu,
Blanc et rouge tel un sens interdit
Les yeux oublient, rougis de larmes devant l'incendie
Ceci dit si le présent s'échappe, le passé apporte ses fruits
Futur remercie ce que j'ai vu, je vois ce que je vis
Aucune certitude parmi la multitude
Rien voir, tout imaginer, avançant comme des condamnés
Blues, jungle grise, tout crise, tout bouge louche
Espoir couleur vert pâle, planète bleue, zone rouge
Ce que je vois, ils voient pas, et le peuple pleure
Leur justice reste aveugle je demeure un homme de couleur
Qui fuit quand le jour se lève, sourit quand il s'a**ombrit
Loin des couleurs fades se réfugie dans la nuit
Refrain
Toi qui me guides, toi qui voit, voilà ce que je vois
De plus en plus de guides, et chacun veut suivre sa voie
Mais c'est la même, tous perdus marchant à tâtons dans la rue
Noir profond du point de vue trop dépourvu des m'as tu vu
Un flow lent comme un slow, essence d'eau, nouvelle étincelle
Je conserve la flamme, l'attise sous mon sombre ciel
Sans tache le bouclier me cache de l'artificiel,
Saches que je vois des arc-en-ciel en flash
Imagine les plus belles formes, les couleurs parfaites
Les rayons foisonnent, dans le flou des flots se reflètent
Nos visages, oublie l'âge, tout est clair et limpide
Le soleil brûle nos pupilles, plus de stress ni de fatigue
Et le soir la lune brille telle une pièce d'or
Veille sur la nuit, une sentinelle quand le ville dort
Dehors la foule fuit l'ennui, la vie, la nuit nuit
Même si le soleil luit, le noir me met à l'abri
Vois-tu le rouge, le bleu, lequel te rend heureux
Veux-tu le ciel, le feu, la vue n'est plus mon voeu
Vois-tu le rouge, le bleu, lequel te rend heureux
Veux-tu le ciel, le feu
Le noir me met à l'abri
Hé ! Yo ! L'ami dis moi si mon quartier est-il toujours gris
Voilà déjà 10 ans que je suis plongé dans la nuit
L'image devient-elle osée, couleurs mal dosées
Le rouge en flaque sur les trottoirs est-il toujours étalé
Elle baisse baisse dans ma mémoire comme du sucre dans l'eau
Ai-je perdu quelque chose dites moi si ce monde est beau
L'éclat d'une explosion, du noir dans ma vision
Une cascade d'émotions ensuite vient la Chhhhh
Un arc-en-ciel pour les 7 couleurs du ciel
Le rouge, le vert, le bleu pour les trois couleurs universelles
Je ne vois pas mais rêve d'une âme aussi blanche que le sel
Dans le noir je me sens bien, protégé par l'Éternel
Garde tes pièces, ne me plains pas, ce que je vois
Tu l'vois pas, je préfère être comme ça, à chacun son combat
Je sors le jour pour ne plus les voir la nuit
Ma canne blanche noircit sur les trottoirs de Paris
Refrain
Une scène perpétuelle sous un ciel large
Je me rappelle pêle-mêle des teintes essentielles
Pages d'images d'un monde beau sans nuages
Sans âme en cage, toutes couleurs de peaux
En paix sous un ciel bleu,
Blanc et rouge tel un sens interdit
Les yeux oublient, rougis de larmes devant l'incendie
Ceci dit si le présent s'échappe, le passé apporte ses fruits
Futur remercie ce que j'ai vu, je vois ce que je vis
Aucune certitude parmi la multitude
Rien voir, tout imaginer, avançant comme des condamnés
Blues, jungle grise, tout crise, tout bouge louche
Espoir couleur vert pâle, planète bleue, zone rouge
Ce que je vois, ils voient pas, et le peuple pleure
Leur justice reste aveugle je demeure un homme de couleur
Qui fuit quand le jour se lève, sourit quand il s'a**ombrit
Loin des couleurs fades se réfugie dans la nuit
Refrain
Toi qui me guides, toi qui voit, voilà ce que je vois
De plus en plus de guides, et chacun veut suivre sa voie
Mais c'est la même, tous perdus marchant à tâtons dans la rue
Noir profond du point de vue trop dépourvu des m'as tu vu
Un flow lent comme un slow, essence d'eau, nouvelle étincelle
Je conserve la flamme, l'attise sous mon sombre ciel
Sans tache le bouclier me cache de l'artificiel,
Saches que je vois des arc-en-ciel en flash
Imagine les plus belles formes, les couleurs parfaites
Les rayons foisonnent, dans le flou des flots se reflètent
Nos visages, oublie l'âge, tout est clair et limpide
Le soleil brûle nos pupilles, plus de stress ni de fatigue
Et le soir la lune brille telle une pièce d'or
Veille sur la nuit, une sentinelle quand le ville dort
Dehors la foule fuit l'ennui, la vie, la nuit nuit
Même si le soleil luit, le noir me met à l'abri