Je ne dois pas être aimable
Puisque tu ne m'aimes pas
Mon côté confortable
Ne contrebalance pas
Ni la taille du manque
Ni la force de son poids
J'aurais pourtant fait n'importe quoi
J'ai porté du bleu
Pour déteindre mes yeux
Coupé mes cheveux
Pour avoir l'air sérieux
J'aurais changé de parfum
Si je connaissais le sien
Je voulais tellement que tu sois mien
J'ai continué à croire, pauvre idiote,
Que le temps resterait notre antidote
J'ai fait ce que j'ai pu pour t'apaiser
Ce n'était jamais suffisant, jamais a**ez
Ca ne pouvait plus durer,
Mais qu'est-ce qui m'a pris
De tellement m'abimer, de m'effacer ainsi ?
Mais qu'est-ce qui m'a pris ?
Je suis allée trop loin
Pour que tu l'oublies
Je suis devenue ce rien,
Cette poupée qui dit oui
T'aurais dû réagir,
M'arrêter, me faire fuir
Pas nous regarder devenir n'importe quoi
J'ai continué à croire, pauvre idiote,
Que le temps resterait notre antidote
J'ai fait ce que j'ai pu pour t'apaiser
Ce n'était jamais suffisant, jamais a**ez
Ca ne pouvait plus durer,
Mais qu'est-ce qui m'a pris
De tellement m'abimer, de m'effacer ainsi ?
Mais qu'est-ce qui m'a pris ?
Ca ne pouvait plus durer,
Mais qu'est-ce qui m'a pris
De tellement m'abimer, de m'effacer ainsi ?
Mais qu'est-ce qui m'a pris ?
Puisque tu ne m'aimes pas
Mon côté confortable
Ne contrebalance pas
Ni la taille du manque
Ni la force de son poids
J'aurais pourtant fait n'importe quoi
J'ai porté du bleu
Pour déteindre mes yeux
Coupé mes cheveux
Pour avoir l'air sérieux
J'aurais changé de parfum
Si je connaissais le sien
Je voulais tellement que tu sois mien
J'ai continué à croire, pauvre idiote,
Que le temps resterait notre antidote
J'ai fait ce que j'ai pu pour t'apaiser
Ce n'était jamais suffisant, jamais a**ez
Ca ne pouvait plus durer,
Mais qu'est-ce qui m'a pris
De tellement m'abimer, de m'effacer ainsi ?
Mais qu'est-ce qui m'a pris ?
Je suis allée trop loin
Pour que tu l'oublies
Je suis devenue ce rien,
Cette poupée qui dit oui
T'aurais dû réagir,
M'arrêter, me faire fuir
Pas nous regarder devenir n'importe quoi
J'ai continué à croire, pauvre idiote,
Que le temps resterait notre antidote
J'ai fait ce que j'ai pu pour t'apaiser
Ce n'était jamais suffisant, jamais a**ez
Ca ne pouvait plus durer,
Mais qu'est-ce qui m'a pris
De tellement m'abimer, de m'effacer ainsi ?
Mais qu'est-ce qui m'a pris ?
Ca ne pouvait plus durer,
Mais qu'est-ce qui m'a pris
De tellement m'abimer, de m'effacer ainsi ?
Mais qu'est-ce qui m'a pris ?