Lavé de tout dans le silence, une brise souffle dans mes cheveux
S'effaceront tous mes mirages, que je vous laisse dans un adieu
Plier en quatre chaque lettre que j'écrivais sous la chandelle
Quelques lignes un peu naïves pour vous guider dans votre peine
Une canne usée cogne sur un arbre, je grave ton nom sur mon bras
L'encre se perd en ricochets, j'ai perdu ma joie ce soir-là
Soudain se lève le soleil, couplant son souffle le long des landes
Un demi-corps sous les étoiles, les yeux figés dans l'au-delà
Juste un message un peu tardif et l'enveloppe déchirée
Je vois sur ce faire-part la conviction de ton départ
Se couchent alors sur l'horizon des cordes de neige cendrée
Chantent la louange de ma tristesse, rien ne sera jamais pareil
Une forêt veillera sur toi, quand je dormirais dans l'eau froide
Un demi-corps sous les étoiles, les yeux figés dans l'au-delà
Une forêt veillera sur toi, quand je dormirais dans l'eau froide
Un demi-corps sous les étoiles, les yeux figés dans l'au-delà
S'effaceront tous mes mirages, que je vous laisse dans un adieu
Plier en quatre chaque lettre que j'écrivais sous la chandelle
Quelques lignes un peu naïves pour vous guider dans votre peine
Une canne usée cogne sur un arbre, je grave ton nom sur mon bras
L'encre se perd en ricochets, j'ai perdu ma joie ce soir-là
Soudain se lève le soleil, couplant son souffle le long des landes
Un demi-corps sous les étoiles, les yeux figés dans l'au-delà
Juste un message un peu tardif et l'enveloppe déchirée
Je vois sur ce faire-part la conviction de ton départ
Se couchent alors sur l'horizon des cordes de neige cendrée
Chantent la louange de ma tristesse, rien ne sera jamais pareil
Une forêt veillera sur toi, quand je dormirais dans l'eau froide
Un demi-corps sous les étoiles, les yeux figés dans l'au-delà
Une forêt veillera sur toi, quand je dormirais dans l'eau froide
Un demi-corps sous les étoiles, les yeux figés dans l'au-delà