J'AI, pour te retenir, trois fois rien, un sourire,
Quelques succédanés c**tivés en secret ;
Livré aux quatre vents, éparpillé gentiment
Depuis quelques années, laisse moi me rassembler.
Je te prie je t'implore
De ne pas sceller mon sort
À grands coups de couperet ;
C'est dangereux, tu le sais.
J'AI, et je le déplore, quelques fois quelques torts ;
Je suis un homme tu sais, et pas un homme parfait.
J'AI longtemps réfléchis, et cette fois j'ai saisi ;
Crois moi, j'ai des regrets, moi qui ne regrette jamais.
Il fait si froid dehors,
Ouvre moi mon trésor !
J'AI, pour te plaire encore, des histoires cousues d'or,
Des que tu n'connais pas, que j'te dirais tout bas.
Sans toi, pas d'avenir : des sanglots, des soupirs,
Un ciel de d'encre et de jais ; j'm'en sortirai jamais.
Je t'appelle au secours ;
Ouvre moi amour !
Faut savoir pardonner,
Cette fois je vais changer !
(pont)
J'AI, comment te le dire, plutôt confiance en l'avenir ;
Pourquoi se dire adieu quand on peu vivre à deux ?
Sans toi, pas d'avenir : des sanglots, des soupirs,
Un ciel de d'encre et de jais ; j'm'en sortirai jamais.
Il faudra m'enfermer
Si tu veux me quitter,
Je m'en f***, je crie fort
Pour que tu m'aimes encore.
J'AIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII,
Pour te retenir.
J'AIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII,
Pour te retenir.
J'AIiIiIiIiIiIiIiIiIiIiIiIiIiI,
Pour te retenir.
Trois fois rien...
Trois fois rien...
Trois fois rien...
Trois fois rien...
Trois fois rien...
Quelques succédanés c**tivés en secret ;
Livré aux quatre vents, éparpillé gentiment
Depuis quelques années, laisse moi me rassembler.
Je te prie je t'implore
De ne pas sceller mon sort
À grands coups de couperet ;
C'est dangereux, tu le sais.
J'AI, et je le déplore, quelques fois quelques torts ;
Je suis un homme tu sais, et pas un homme parfait.
J'AI longtemps réfléchis, et cette fois j'ai saisi ;
Crois moi, j'ai des regrets, moi qui ne regrette jamais.
Il fait si froid dehors,
Ouvre moi mon trésor !
J'AI, pour te plaire encore, des histoires cousues d'or,
Des que tu n'connais pas, que j'te dirais tout bas.
Sans toi, pas d'avenir : des sanglots, des soupirs,
Un ciel de d'encre et de jais ; j'm'en sortirai jamais.
Je t'appelle au secours ;
Ouvre moi amour !
Faut savoir pardonner,
Cette fois je vais changer !
(pont)
J'AI, comment te le dire, plutôt confiance en l'avenir ;
Pourquoi se dire adieu quand on peu vivre à deux ?
Sans toi, pas d'avenir : des sanglots, des soupirs,
Un ciel de d'encre et de jais ; j'm'en sortirai jamais.
Il faudra m'enfermer
Si tu veux me quitter,
Je m'en f***, je crie fort
Pour que tu m'aimes encore.
J'AIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII,
Pour te retenir.
J'AIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII,
Pour te retenir.
J'AIiIiIiIiIiIiIiIiIiIiIiIiIiI,
Pour te retenir.
Trois fois rien...
Trois fois rien...
Trois fois rien...
Trois fois rien...
Trois fois rien...