En attendant le pire
Je lève mon verre à toi
Je m'accroche à ton sourire
je me jette dans tes bras
Mon bel avenir
Tes cheveux sont sur moi
Le filtre et moi j'aspire
Un peu de silence, un peu d'air
Juste un temps d'arrêt sans lumière
Rien que la nuit pour envelopper un goût amer
Je ne vois que du noir
Je ne vois que de l'effroi
Je crois qu'il se fait tard
Je ne suis plus sûr de moi
Je sais très bien que rien ne changera
J'ai si peur, je suis tapi dans le soir
Je tremble comme une feuille
J'ai beau lutter, rien n'y fait
Mes idées, mes pensées me ramènent à l'écueil
Rien qu'une lueur, un espoir me suffirait
Comment, comment les trouver, mon cœur ?
Qui m'avait promis le respect ?
Qui m'a vendu un monde sans peine ?
Qui m'a répété
"Pas de violence, plus de haine" ?
Cette douce petite voix
Qui disait "Ne t'en fais pas"
Comme une douce petite voix
Qui pensait, pensait pour moi
Qui m'a tant répété "Ne bouge pas"
Il a si peur, il est tapi dans le noir
Il tremble comme une feuille
J'ai lu dans son regard tout à la fois la terreur
La fuite et puis le deuil
Celui qu'on méprise pour ce qu'il n'est pas
Comment, comment s'en remettre, mon cœur ?
En attendant le pire
Je lève mon verre à toi
Je m'accroche à ton sourire
je me jette dans tes bras
Mon bel avenir
Tes cheveux sont sur moi
Le filtre et moi
J'aspire
Fini le silence, un peu d'air
Juste un temps de mise en lumière
Pour que la nuit ne cache plus ce goût amer
À chaque mot une phrase
Pour chaque phrase un vers
Je ne me tairai plus
Je ne laisserai plus faire
Oubliée la petite voix délétère
Finies les heures lorsque tapi dans le noir
Je tremblais comme une feuille
Je répondrai chaque fois
Je ferai chaque pas vers l'accueil
Vers celui qu'on méprise pour ce qu'il n'est pas
Voilà comment respirer, mon cœur
En attendant le pire
Je lève mon verre à toi
Je m'accroche à ton sourire
je me jette dans tes bras
Mon bel avenir
Tes cheveux sont sur moi
Le filtre et moi
J'aspire
Je lève mon verre à toi
Je m'accroche à ton sourire
je me jette dans tes bras
Mon bel avenir
Tes cheveux sont sur moi
Le filtre et moi j'aspire
Un peu de silence, un peu d'air
Juste un temps d'arrêt sans lumière
Rien que la nuit pour envelopper un goût amer
Je ne vois que du noir
Je ne vois que de l'effroi
Je crois qu'il se fait tard
Je ne suis plus sûr de moi
Je sais très bien que rien ne changera
J'ai si peur, je suis tapi dans le soir
Je tremble comme une feuille
J'ai beau lutter, rien n'y fait
Mes idées, mes pensées me ramènent à l'écueil
Rien qu'une lueur, un espoir me suffirait
Comment, comment les trouver, mon cœur ?
Qui m'avait promis le respect ?
Qui m'a vendu un monde sans peine ?
Qui m'a répété
"Pas de violence, plus de haine" ?
Cette douce petite voix
Qui disait "Ne t'en fais pas"
Comme une douce petite voix
Qui pensait, pensait pour moi
Qui m'a tant répété "Ne bouge pas"
Il a si peur, il est tapi dans le noir
Il tremble comme une feuille
J'ai lu dans son regard tout à la fois la terreur
La fuite et puis le deuil
Celui qu'on méprise pour ce qu'il n'est pas
Comment, comment s'en remettre, mon cœur ?
En attendant le pire
Je lève mon verre à toi
Je m'accroche à ton sourire
je me jette dans tes bras
Mon bel avenir
Tes cheveux sont sur moi
Le filtre et moi
J'aspire
Fini le silence, un peu d'air
Juste un temps de mise en lumière
Pour que la nuit ne cache plus ce goût amer
À chaque mot une phrase
Pour chaque phrase un vers
Je ne me tairai plus
Je ne laisserai plus faire
Oubliée la petite voix délétère
Finies les heures lorsque tapi dans le noir
Je tremblais comme une feuille
Je répondrai chaque fois
Je ferai chaque pas vers l'accueil
Vers celui qu'on méprise pour ce qu'il n'est pas
Voilà comment respirer, mon cœur
En attendant le pire
Je lève mon verre à toi
Je m'accroche à ton sourire
je me jette dans tes bras
Mon bel avenir
Tes cheveux sont sur moi
Le filtre et moi
J'aspire