Vierge de la mer,
toi qui me tends les bras.
Sainte aux voiles d'or,
je crois encore en toi.
Toi la vierge noire
aux mains gantées de lumière.
Dis-moi que la mer
sera clémente pour moi.
Les femmes du port,
qui guettent le ciel lourd,
les femmes aux voiles noires,
aux ailes de vautour
on vit au ciel des morts
passer sa barque frivole:
dis-moi que les femmes du port
sont des folles.
Madona, Madona.
Refrain (deux fois)
Ramène dans le port
la voile blanche de mes amours.
Réveille dans mon cœur
la foi brûlante des beaux jours.
Ne me dites pas
qu'il est trop loin pour m'entendre!
Je vois son visage
quand je ferme les yeux.
Vierge de la mer,
Prends garde à mon chagrin.
Si l'orage est plus fort
que ton regard divin,
au village on dira
que tu n'es pas notre mère.
Que tu n'es que statue de bois
sans mystère.
Madona, Pardonne.
Refrain (deux fois)
Vers toi notre prière monte.
toi qui me tends les bras.
Sainte aux voiles d'or,
je crois encore en toi.
Toi la vierge noire
aux mains gantées de lumière.
Dis-moi que la mer
sera clémente pour moi.
Les femmes du port,
qui guettent le ciel lourd,
les femmes aux voiles noires,
aux ailes de vautour
on vit au ciel des morts
passer sa barque frivole:
dis-moi que les femmes du port
sont des folles.
Madona, Madona.
Refrain (deux fois)
Ramène dans le port
la voile blanche de mes amours.
Réveille dans mon cœur
la foi brûlante des beaux jours.
Ne me dites pas
qu'il est trop loin pour m'entendre!
Je vois son visage
quand je ferme les yeux.
Vierge de la mer,
Prends garde à mon chagrin.
Si l'orage est plus fort
que ton regard divin,
au village on dira
que tu n'es pas notre mère.
Que tu n'es que statue de bois
sans mystère.
Madona, Pardonne.
Refrain (deux fois)
Vers toi notre prière monte.