Sans elle, mes larmes couleraient à en faire une mer, un océan géant.
Sans elle, moi je m'étourdirai dans des rondes sans fin, des fontaines de vin,
Sans elle, je ne suis qu'un pierrot, un duettiste en solo.
Sans elle, je suis de trop, bien c'est de toi que je parle, toi mon amour, ma femme.
REFRAIN:
Ma femme, toi qui sais comment il est fragile l'infâme
L'homme au poisson d'avril, aux larmes
Toi qui sais aux matins d'hiver la flamme
Les moulins à vent, en colère mon âme.
Ma femme, toi qui as su m'attendre, qui as su me comprendre
Toi qui as pris le temps de faire mes enfants
Toi qui as su m'aimer, qui as su pardonner
C'est de toi que je parle, ma femme.
Sans elle, je ne serais plus rien, qu'une peine, un chagrin, un fantôme, un pantin.
Sans elle, y'aurait plus de soleil, plus d'oiseaux, plus d'abeilles, rien ne serait pareille
Sans elle, je connaîtrais debout, des chagrins d'amour fou, je me moquerai
De tout, bien c'est de toi que je parle, toi mon amour, ma femme.
REFRAIN
Ma femme, toi qui sais comment il est fragile l'infâme
L'homme au poisson d'avril, aux larmes
Toi qui sais aux matins d'hiver la flamme
Les moulins à vent, en colère mon âme.
Ma femme, toi qui as su m'attendre, qui as su me comprendre
Toi qui as pris le temps de faire mes enfants
Toi qui as su m'aimer, qui as su pardonner
C'est de toi que je parle, ma femme.
Sans elle, moi je m'étourdirai dans des rondes sans fin, des fontaines de vin,
Sans elle, je ne suis qu'un pierrot, un duettiste en solo.
Sans elle, je suis de trop, bien c'est de toi que je parle, toi mon amour, ma femme.
REFRAIN:
Ma femme, toi qui sais comment il est fragile l'infâme
L'homme au poisson d'avril, aux larmes
Toi qui sais aux matins d'hiver la flamme
Les moulins à vent, en colère mon âme.
Ma femme, toi qui as su m'attendre, qui as su me comprendre
Toi qui as pris le temps de faire mes enfants
Toi qui as su m'aimer, qui as su pardonner
C'est de toi que je parle, ma femme.
Sans elle, je ne serais plus rien, qu'une peine, un chagrin, un fantôme, un pantin.
Sans elle, y'aurait plus de soleil, plus d'oiseaux, plus d'abeilles, rien ne serait pareille
Sans elle, je connaîtrais debout, des chagrins d'amour fou, je me moquerai
De tout, bien c'est de toi que je parle, toi mon amour, ma femme.
REFRAIN
Ma femme, toi qui sais comment il est fragile l'infâme
L'homme au poisson d'avril, aux larmes
Toi qui sais aux matins d'hiver la flamme
Les moulins à vent, en colère mon âme.
Ma femme, toi qui as su m'attendre, qui as su me comprendre
Toi qui as pris le temps de faire mes enfants
Toi qui as su m'aimer, qui as su pardonner
C'est de toi que je parle, ma femme.