CHEZ MOI
Du chemin des rochers, on surplombe la nature
L´horloge de l´église martèle encore le temps,
Des toits de tuiles rouges, un îlot de verdure,
Rappellent mes souvenirs, qui sont toujours vivants.
Refrain : Petit village de la Garnache niché au creux de la Vendée,
Tu as gardé tout ton panache, bientôt je vais te retrouver.
Les week-end de basket et les grandes ballades en vélo,
Les étés d´mon enfance, il y faisait vraiment très beau,
J´ai vu mon père nous pédaler de St Thomas à la Laumiere,
Heureux de tout, heureux de nous, une goutte de sueur sur les paupières.
C´est à l´école, route de Machecoul, que j´ai appris à regarder
Près du poil à charbon, bon sang que j´étais bien....
Nous mangions les semaines en lézardant sur nos cahiers
Rêvant aux mercredis, à nos jeux, à demain.
C´est dans ta terre que tu protèges tout ceux que j´aime,
Mes grands-parents en ont vécu et y reposent,
Le sommeil éternel mérite bien qu´on s´y promène
Emmêlé dans le lierre des murs du vieux château.
Et le dimanche aux sons des cloches nous nous hâtions,
Sur la place de l´église, c´était les retrouvailles,
Toute la semaine aux champs, la vie le temps étaient bataille
Mais bienheureux était ce jour que savouraient nos cœurs d´enfants.
Il a pourtant fallu partir, en grandissant, c´était fatal,
Dire adieu aux copains, quitter les c**ottes courtes,
Il m´a fallu trente ans et pas mal de déroutes,
Pour enfin te revoir et surtout te chanter.
Du chemin des rochers, on surplombe la nature
L´horloge de l´église martèle encore le temps,
Des toits de tuiles rouges, un îlot de verdure,
Rappellent mes souvenirs, qui sont toujours vivants.
Refrain : Petit village de la Garnache niché au creux de la Vendée,
Tu as gardé tout ton panache, bientôt je vais te retrouver.
Les week-end de basket et les grandes ballades en vélo,
Les étés d´mon enfance, il y faisait vraiment très beau,
J´ai vu mon père nous pédaler de St Thomas à la Laumiere,
Heureux de tout, heureux de nous, une goutte de sueur sur les paupières.
C´est à l´école, route de Machecoul, que j´ai appris à regarder
Près du poil à charbon, bon sang que j´étais bien....
Nous mangions les semaines en lézardant sur nos cahiers
Rêvant aux mercredis, à nos jeux, à demain.
C´est dans ta terre que tu protèges tout ceux que j´aime,
Mes grands-parents en ont vécu et y reposent,
Le sommeil éternel mérite bien qu´on s´y promène
Emmêlé dans le lierre des murs du vieux château.
Et le dimanche aux sons des cloches nous nous hâtions,
Sur la place de l´église, c´était les retrouvailles,
Toute la semaine aux champs, la vie le temps étaient bataille
Mais bienheureux était ce jour que savouraient nos cœurs d´enfants.
Il a pourtant fallu partir, en grandissant, c´était fatal,
Dire adieu aux copains, quitter les c**ottes courtes,
Il m´a fallu trente ans et pas mal de déroutes,
Pour enfin te revoir et surtout te chanter.